IRAN PROBE - Le pouvoir judiciaire d'Iran condamne un prisonnier à une amputation pour vol. Il s'agit au moins de la cinquième décision judiciaire de cet ordre en 2017. La branche 8 du tribunal pénal de la province de Téhéran a condamné un détenu à être amputé de la main car il est accusé de vol qualifié, selon le site Web des droits de l'homme en Iran.
Un autre détenu du nom de Hamid Moini a été exécuté mardi dans la prison de Shiraz Adel Abad. Ce même détenu avait eu la main amputée il y a seulement 10 jours.
En février, les juges de la branche 5 du tribunal pénal de la province de Téhéran ont condamné deux frères et un troisième individu à une « amputation de la main, à la confiscation de tous ses biens et à la prison », selon les sites d'information.
Deux semaines plus tard, la branche 23 de la cour suprême iranienne a soutenu une décision prise par la branche 8 du tribunal pénal de la province de Téhéran, d'amputer la main d’un individu accusé de vol. Cette décision est sur le point d’être mise en œuvre.
Au cours des dernières années, la décision d'amputations des doigts a été mise en place pour un certain nombre de voleurs dans de nombreuses villes à travers le pays, y compris à Yazd, à Bushehr, à Mashhad et à Ilam.
Les défenseurs des droits de l'homme ont décrit que de telles punitions, y compris la lapidation, sont impitoyables et brutales. Les spécialistes de la criminalité estiment que de telles punitions ne feront qu’accroître de violence dans la société.
L’accord international relatif aux droits civils et politiques interdit expressément les peines inhumaines et dérogatoires. Cependant, le régime iranien a institutionnalisé les peines inhumaines dans ses lois de punition (article 278 du Code pénal islamique).
Un autre détenu du nom de Hamid Moini a été exécuté mardi dans la prison de Shiraz Adel Abad. Ce même détenu avait eu la main amputée il y a seulement 10 jours.
En février, les juges de la branche 5 du tribunal pénal de la province de Téhéran ont condamné deux frères et un troisième individu à une « amputation de la main, à la confiscation de tous ses biens et à la prison », selon les sites d'information.
Deux semaines plus tard, la branche 23 de la cour suprême iranienne a soutenu une décision prise par la branche 8 du tribunal pénal de la province de Téhéran, d'amputer la main d’un individu accusé de vol. Cette décision est sur le point d’être mise en œuvre.
Au cours des dernières années, la décision d'amputations des doigts a été mise en place pour un certain nombre de voleurs dans de nombreuses villes à travers le pays, y compris à Yazd, à Bushehr, à Mashhad et à Ilam.
Les défenseurs des droits de l'homme ont décrit que de telles punitions, y compris la lapidation, sont impitoyables et brutales. Les spécialistes de la criminalité estiment que de telles punitions ne feront qu’accroître de violence dans la société.
L’accord international relatif aux droits civils et politiques interdit expressément les peines inhumaines et dérogatoires. Cependant, le régime iranien a institutionnalisé les peines inhumaines dans ses lois de punition (article 278 du Code pénal islamique).
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