Ali Asghar Zarean, chef adjoint de l'agence nucléaire du régime iranien, a déclaré le 25 janvier que le stock d'uranium enrichi du régime avait atteint 1 200 kg. Pourtant, il n'a pas mentionné le niveau de pureté de cet uranium enrichi.
Il s'agit d'une violation claire de l'accord nucléaire de 2015 avec les puissances mondiales, officiellement connu sous le nom de Plan d'action global conjoint ou JCPOA, en vertu duquel le régime n'est pas autorisé à stocker plus de 300 kg d'uranium enrichi. Cette violation est conforme à la soi-disant «cinquième étape» du régime en matière de violation du JCPOA. Le régime a entamé ces démarches en réduisant ses engagements pour faire chanter les signataires de l'accord pour davantage de mesures incitatives, malgré les activités néfastes du régime dans la région.
"Maintenant, si (les autorités du régime) prennent la décision, l'Organisation de l'énergie atomique, pourra enrichir l'uranium à n'importe quel pourcentage", a déclaré Ali Asghar Zarean, faisant clairement référence à l'intention du régime de violer davantage l'accord et sa course vers une bombe atomique.
Les puissances européennes ont déclenché à contrecœur le mécanisme de règlement des différends des Nations Unies qui, compte tenu des mesures prises par le régime pour réduire ses engagements en vertu du JCPOA. Pourtant, Reuters a rapporté le 24 janvier que le plus haut diplomate de l'UE, Josep Borrell, a prolongé le temps disponible pour discuter des moyens de sauver l'accord nucléaire de 2015 avec le régime dans le cadre du mécanisme de règlement des différends déclenché par la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne.
Alors que la possibilité de sa chute émerge, le régime essaie de prolonger sa survie et considère que l'obtention d'une arme nucléaire aidera certainement ce régime à atteindre cet objectif. Ce qui signifie plus de répression pour le peuple iranien et un chaos incessant à travers le Moyen-Orient et le globe. Par conséquent, accorder plus de temps au régime ne fera qu'ajouter à la misère du peuple iranien et les habitants de la région.
Donc, à ce stade, il est nécessaire que les pouvoirs de l'UE adoptent une politique ferme vis-à-vis de ce régime et les aspirations du peuple iranien pour le changement de régime.
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