Rédigé par le Secrétariat du Conseil national de la résistance d'Iran (CNRI) le 23 janvier 2020.
Au cours de l'année écoulée, l'OMPI / MEK a élargi ses « unités de résistance » et elles ont été très actives dans toutes les villes d'Iran, informant et assistant le peuple iranien sur les moyens de résister au régime.
Les unités de Résistance rédigent des slogans contre le régime ou affichant des photos de Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la résistance d'Iran (CNRI), et de M. Massoud Radjavi, leader de la résistance iranienne, depuis les ponts dans un quartier animé de Téhéran.
En réponse, le régime est très préoccupé par l'impact de ces activités sur la population, en particulier sur les efforts pour se soulever contre le régime.
Le régime est allé à l'extrême pour essayer de faire taire ces efforts, et des nouvelles de condamnations de militants de l'OMPI ont souvent fait surface dans les médias du pouvoir.
Lundi à Téhéran sur l'autoroute Abchenassane affiche en faveur de Massoud Radjavi Leader de la résistance #IranProtests2020 #FreeIran2020 #Iran
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Le 20 mai 2019, un soi-disant tribunal révolutionnaire de Téhéran a condamné à mort un militant de l’OMPI âgé de 34 ans et membre d'une unité de résistance et a condamné trois autres personnes à cinq ans de prison pour s'être engagé dans la diffusion de littératures anti-régime.
Malgré la réaction brutale du régime, les unités de résistance de l'OMPI / MEK ont poursuivi leurs activités, en particulier pendant le soulèvement de novembre 2019 qui a balayé 191 villes et les manifestations de quatre jours dans 40 villes à travers 20 provinces en janvier. Ces unités ont grandement contribué aux manifestations en Iran. Ils ont une riche expérience acquise sur le terrain et à travers des milliers d'actes de protestation, de sit-in et de grèves.
Les unités de résistance de l'OMPI risquent leur vie pour préparer courageusement des rassemblements dans le pays. Cela peut commencer par un simple barrage routier ou un chant risqué sur une chaussée très fréquentée. A chaque étincelle, le grand public, qui déteste le régime, se joint à elles avec impatience.
Les responsables du régime iraniens et les médias d'État ont reconnu le rôle de premier plan joué par l'OMPI dans les manifestations en Iran.
Le guide suprême du régime, Khamenei, a souligné le rôle de l'OMPI dans les manifestations en Iran dans un discours à la télévision d'État le 17 novembre 2019.
Le 17 novembre, le troisième jour du soulèvement, le chef suprême du régime, Ali Khamenei, a blâmé l’OMPI / MEK pour les manifestations.
Dans un discours diffusé par la télévision d'État, Khamenei a déclaré : «Si vous constatez que vous verrez qu'au cours des deux derniers jours et nuits, tous les centres de sédition sont devenus actifs… l’OMPI / MEK criminel appelle continuellement à ces actions et encourage ces actions sur les réseaux sociaux, les médias et d'autres endroits. "
Avant le soulèvement et l’année dernière, les « unités de résistance » de l’OMPI étaient déjà très actives dans toutes les villes d’Iran.
« Au cours de l'année écoulée, les Unités de la Résistance ont déclenché des manifestations dans tout l'Iran malgré les pressions et persécutions horribles des Gardiens de la Révolution des mollahs (CGRI) et du ministère des Renseignements (Vevak). Ils ont enduré de grandes souffrances, arrestations, tortures et emprisonnements pour s'organiser vers la constitution de la grande armée de la liberté », a déclaré la présidente élue de la Résistance iranienne, Mme Maryam Radjavi, dans un message adressé à la nation iranienne le 20 novembre 2019.
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