Massoumeh Jochaghami, ma très chère soeur, ancienne prisonnière qui avaient été torturées dans les prisons de Khomeiny, amie pleine de compassion des Moudjahidine du peuple et de la résistance iranienne, nous a quittés.
Saluons sa mémoire, elle qui a été une défenseure sincère des Moudjahidines du peuple et de la cause libératrice de ce mouvement. Toute sa vie elle a accompagné et servi la résistance iranienne.
Dans ses mémoires, Massoumeh a écrit qu’en prison elle avait eu la chance de connaître des femmes, qu’elle a décrit comme de véritables anges dans lesquelles on pouvait voir le summum de la beauté de la création.
En vérité elle faisait elle-même partie de ces personnes. Elle faisait partie des femmes courageuses qui ont combattu la tyrannie religieuse et misogyne, qui ont connu la prison, et se sont dressées contre la discrimination et la répression des femmes.
Elle faisait partie de ces personnes de grande valeur qui avait trouvé le sens véritable de la vie dans l’accomplissement de leurs responsabilités et dans la lutte pour la libération du peuple iranien. Comme elle le disait « l’enthousiasme et la passion de la liberté, de la vie et de la résistance gardent vivants toutes les personnes libres ».
Malgré le temps qui passent et toutes ces années après sa période d’emprisonnement et de torture dans les prisons de Khomeiny, elle n’a jamais mis de distance entre elle et cette résistance épique. Elle était véritablement inspirée par les symboles de la résistance.
En vérité elle faisait elle-même partie de ces personnes. Elle faisait partie des femmes courageuses qui ont combattu la tyrannie religieuse et misogyne, qui ont connu la prison, et se sont dressées contre la discrimination et la répression des femmes.
Elle faisait partie de ces personnes de grande valeur qui avait trouvé le sens véritable de la vie dans l’accomplissement de leurs responsabilités et dans la lutte pour la libération du peuple iranien. Comme elle le disait « l’enthousiasme et la passion de la liberté, de la vie et de la résistance gardent vivants toutes les personnes libres ».
Malgré le temps qui passent et toutes ces années après sa période d’emprisonnement et de torture dans les prisons de Khomeiny, elle n’a jamais mis de distance entre elle et cette résistance épique. Elle était véritablement inspirée par les symboles de la résistance.
J’adresse tout mes condoléances pour la perte de cet être cher au Docteur Mohammad-Ali Sheikhi, président de la commission des Universités du Conseil national de la Résistance iranienne, ainsi qu’à Maryam et Sara, ses filles, et Amitisse, sa petite-fille, pour la perte de leur mère et grand-mère. J’adresse mes condoléances à tous les Moudjahidine du peuple et à la grande famille de la Résistance iranienne.
L’ensemble des Moudjahidine du peuple et des membres de la résistance partagent la peine et la tristesse du Dr Sheikhi, qui est depuis 40 ans, un compagnon de lutte sans répit de Massoud Radjavi dans le Conseil national de la Résistance iranienne et dont la défense des principes et des démarcations politiques du CNRI, sont admirables et exemplaires.
Nous n’oublierons jamais Massoumeh Jochaghami. Ses qualités, sa pureté et sa persévérances libératrice sont gravées dans la conscience de ce mouvement et sa perte vient ajouter à l’engagement et aux responsabilité de tous les membres de cette résistance pour faire aboutir la lutte pour la liberté.
Il ne fait aucun doute que la flamme de son existence et de toutes celles et de tous ceux qui ont perdu la vie, reste vive à jamais et brille dans la lutte du peuple et de la résistance iranienne jusqu’au jour de la liberté et de la victoire.
L’ensemble des Moudjahidine du peuple et des membres de la résistance partagent la peine et la tristesse du Dr Sheikhi, qui est depuis 40 ans, un compagnon de lutte sans répit de Massoud Radjavi dans le Conseil national de la Résistance iranienne et dont la défense des principes et des démarcations politiques du CNRI, sont admirables et exemplaires.
Nous n’oublierons jamais Massoumeh Jochaghami. Ses qualités, sa pureté et sa persévérances libératrice sont gravées dans la conscience de ce mouvement et sa perte vient ajouter à l’engagement et aux responsabilité de tous les membres de cette résistance pour faire aboutir la lutte pour la liberté.
Il ne fait aucun doute que la flamme de son existence et de toutes celles et de tous ceux qui ont perdu la vie, reste vive à jamais et brille dans la lutte du peuple et de la résistance iranienne jusqu’au jour de la liberté et de la victoire.
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