Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a condamné la prise en otage de ressortissants étrangers par le fascisme religieux au pouvoir en Iran et les pressions inhumaines exercées sur eux, en particulier sur M. Olivier Vandecasteele. Tout en compatissant avec la famille Vandecastel, elle a exigé la libération immédiate de tous les otages.
Le terrorisme et la prise d’otages étrangers ont été un levier pour faire avancer la politique étrangère du régime des mollahs depuis le début. Le CNRI et l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) ont toujours dénoncé cette politique.
La politique de complaisance et de concessions vis-à-vis du régime iranien pour obtenir la libération des otages l’a poussé à continuer l’immonde commerce du chantage et de la prise d’otages. Seule une politique de fermeté contre ce régime mettra fin à la tragédie inhumaine des prises d’otages, faute de quoi l’expérience depuis les prises d’otages de ressortissants français au Liban dans les années 1980 à ce jour, montre bien qu’au cours des 43 dernières années, pour chaque otage libéré par le biais d’échange ou des mesures incitatives, ce régime a pris ou tué au moins deux nouveaux otages.
Mme Radjavi a souligné : Si ce n’est pas vrai, le régime au pouvoir en Iran peut immédiatement s’engager auprès des Nations Unies dans un document officiel de libérer Olivier Vandecasteele et tous les otages aujourd’hui et de ne plus jamais prendre aucun ressortissant de n’importe quel pays, sous aucune raison, en otage.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 12 décembre 2022
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