Une source informée a déclaré à Iran Human Rights : « Yousef Mirzabeigi a été arrêté pour le meurtre de sa femme il y a 10 ans et Mohammadali a été arrêté il y a quatre ans ».
Au moment de la rédaction de cet article, aucune de leurs exécutions n’a été signalée par les médias nationaux ou les officiels en Iran.
Les personnes accusées du terme générique de « meurtre intentionnel » sont condamnées à des peines de qisas (la loi du talion) indépendamment de l’intention ou des circonstances, en raison d’un manque de gradation dans la loi. Une fois l’accusé reconnu coupable, la famille de la victime doit choisir entre la mort comme châtiment, la diya (prix du sang) ou le pardon.
Plus de 500 personnes, dont 2 délinquants mineurs, ont été exécutées en 2022, soit l’exécution annuelle la plus élevée depuis 2017.
Source : IHR/ CSDHI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire