Le communiqué souligne que Gholamhossein Mohseni Ejei, chef du pouvoir judiciaire du régime des mollahs, qui a été impliqué dans des crimes contre l’humanité et des procès et exécutions hâtifs, a récemment demandé le jugement et l’extradition de membres clés de la Résistance.
Le CFID craint que l’attention portée par Ejei à ce mouvement ne serve à préparer d’éventuelles actions terroristes en Europe et à échapper aux poursuites judiciaires internationales à l’encontre des dirigeants du régime.
Le CFID souligne que le silence sur ces crimes équivaut à une tolérance à l’égard des violations graves et persistantes des Droits de l’Homme en Iran. Il a exhorté les Nations unies, l’Union européenne et d’autres organismes internationaux à soutenir l’appel de la Résistance iranienne en faveur de la création d’un tribunal international chargé de poursuivre les auteurs de crimes contre l’humanité au sein du régime des mollahs.
Le texte intégral du communiqué du CFID est disponible ci-dessous :
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