Ces prisonniers s’appelaient Milad Badrkhani et Hossein Bagharpour. Ils étaient inculpés dans une affaire commune à l’aube du 5 août 2022. Hier, vendredi 12 août, leur septième cérémonie nocturne a eu lieu.
Selon une source informée, ces prisonniers étaient incarcérés à la prison d’Arak. Mais comme la justice les a inculpés à Saveh, les agents du régime les ont transférés à la prison de Saveh pour mettre en oeuvre la sentence.
Les agents du régime ont arrêté Milad Badrkhani, 25 ans, il y a environ 3 ans. Ils l’ont emprisonné jusqu’au jour de son exécution.
Les agents ont également arrêté Hossein Bagharpour, 38 ans et emprisonné pendant environ 4 ans.
Milad et Hossein ont été enterrés la semaine dernière, au milieu de la colère et de la tristesse de leurs amis, au cimetière de Dar al-Salam – le 7e bloc d’Islamshahr, à Téhéran.
« C’étaient de très bons enfants. Ce gouvernement les a fait tomber dans la toxicomanie ». C’est ce qu’ a déclaré une source proche de « pas-de-prison-pas-de-mort » du Centre des droits de l’homme.
Aucun des médias officiels du gouvernement iranien n’a annoncé l’exécution de ces deux prisonniers.
En comptant l’exécution de ces deux prisonniers dans la prison de Saveh, le régime a exécuté au moins 261 prisonniers depuis le début de l’année iranienne 1401.
Il convient de mentionner qu’il a exécuté deux prisonniers, avant-hier, dans les prisons de Qom et d’Arak.
Source : Javaneha/ CSDHI
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