Dans une lettre ouverte à Ban Ki-moon, quelques athlètes et marchands pro OMPI (MEK) malaisiens ont demandé l’envoi du bilan des violations des droits de l’Homme en Iran au Conseil de sécurité et des droits de l’Homme de l’ONU.
Voici une partie de la lettre :
avec l’augmentation des protestations des étudiants et des éducateurs dans le pays et les progrès des mouvements à la recherche de la justice, nous exprimons notre solidarité avec le mouvement pour obtenir la justice concernant le massacre de 1988. Beaucoup de ceux qui ont été massacrés pendant cette période étaient de jeunes étudiants, des écoliers et des femmes, dont des femmes enceintes.
Malheureusement, les responsables du massacre n’ont toujours pas été poursuivis ou interrogés, alors qu’ils occupent toujours des postes dans le pouvoir exécutif et sont parmi les membres du gouvernement actuel.
Le silence de la communauté internationale et de plusieurs organisations défenseur des droits de l’Homme comme les Nations Unies contre ce crime historique a été une incitation à poursuivre les meurtres, les pendaisons, la torture et l’exécution des enfants de notre population. Nous condamnons ce massacre et demandons un procès pour tous ces responsables dans ce crime inhumain.
Nous demandons que les mesures nécessaires soient prises, sérieusement, pour envoyer ce crime contre l’humanité devant la Cour pénale internationale afin que les responsables soient jugés. Ces demandes sont légitimes et facilement applicables, mais elles requièrent seulement un courage politique. Nous soutenons l’appel de Mme Maryam Radjavi sur ce sujet.
Quelques athlètes et marchands malaisiens pro OMPI (MEK)
Vendredi 30 septembre 2016
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