Le 3 octobre en Iran, la militante politique Golrokh Ebrahimi a reçu un coup de fil de la prison lui ordonnant de s'y présenter pour y purger sa peine. Il lui ont bien signifié que si elle n'y venait pas elle-même, ils iraient la chercher pour l'y amener de force.
Son mari, Arach Sadeghi est lui aussi emprisoné à Evine dans la capitale iranienne et en a pris pour 19 ans derrière les barreaux.
Avec trois autres prisonniers politiques, il est interné avec des détenus de droit commun. A quatre, ils viennent d'écrire un rapport sur les conditions insupportables de détention, le mélange des détenus sans distinction des peines et la vente de drogue à vaste échelle. Ils dénonce les violations permanentes des droits des prisonniers.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire