Après Washington et Londres, Paris a accueilli aux Invalides un hommage aux 30.000 âmes volées par le régime des mollahs lors du 1988 Massacre en Iran. Le monde doit briser son silence et demander des comptes à ce régime criminel.
Exécutés pour n’avoir pas renoncé à défendre la liberté. Il est temps que les mollahs répondent de ce crime contre l’humanité, ont déclaré les organisateurs.
Ils ont été les premiers à combattre le fascisme religieux. Le monde a fermé les yeux sur le massacre de 1988 en Iran. Depuis Téhéran a exporté son terrorisme. Il est temps de tenir les mollahs responsables de ce crime contre l’humanité.
Sur les photos, des jeunes de 16 et 17 ans lors de leur exécution. Un autre de 19 ans, pas encore 20 ans lors de son exécution. Dans le #1988Massacre, les mollahs ont exécutés de nombreux enfants en Iran et continuent aujourd’hui.
Les demandes pour une enquête internationale sur ce crime se font de plus en plus pressantes. L’ancienne Rapporteuse spéciale des Nation-Unies sur les droits de l’homme en Iran, feu Asma Jahangir, dans son dans son rapport de 26 pages à l’Assemblée générale des Nations-Unies avait écrit : « Les familles des victimes ont le droit de connaître la vérité au sujet de ces événements et du sort de leurs proches sans craindre de représailles. Elles ont le droit d’intenter une action en justice, ce qui englobe notamment le droit à des investigations efficaces pour établir les faits et à la divulgation de la vérité, et le droit à réparation. »
Le célèbre avocat des droits de l’homme, William Bourdon, a estimé pour sa part que l’impunité dont jouissent les autorités iraniennes les a encouragés dans la culture du crime. « L'insolente impunité dont jouissent les auteurs de ces crimes doit cesser. Car ces derniers continuent de détenir des postes clés au sein du régime iranien. Il y a une culture de la terreur qui s'est installée de ce fait et qui doit être combattue. Une culture qui fait qu’aujourd’hui on continue de pendre à grande échelle dans un pays qui détient le record mondial d’exécution par tête d’habitant », avait-il déclaré lors d’une conférence de presse avec les familles des victimes à Paris.
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