CSDHI - Avant que le régime iranien actuel prenne le pouvoir en Iran, notre pays n'était pas confronté au pillage des ressources naturelles.
Ce régime détruit le pays depuis plus de 40 ans.
Les ressources naturelles telles que les forêts, les montagnes, le sol, l’eau et les terrains agricoles sont les principales ressources qui constituent le droit de tout le pays et de ses habitants. Mais ce régime pille toutes ces ressources.
Les autorités iraniennes ont beaucoup tenté, au moyen de faux, de mettre ces ressources à leur nom et à ceux des membres de leur famille. Et en cas d'échec, ils vendent ces ressources à très bas prix à d'autres pays du Moyen-Orient et détournent l'argent.
Pillage du sol iranien
Le pillage du sol est l'une des principales industries dans lesquelles le gouvernement est engagé. Produire un centimètre cube de sable prend des centaines d'années, mais le gouvernement ne se soucie pas de cette ressource nationale très importante, mais vend des milliers de tonnes de terres aux pays du Moyen-Orient.
Cela se produit au nom de l’exportation de « terres sucrées ». Une partie des terres sont vendues sous forme de cargaisons de sable, de gravier et de minéraux.
Avec ces actions, le gouvernement iranien érode une grande partie des plaines de l’Iran avec sa politique destructrice. En raison de l'affaissement des terres et du manque d'eau, la vie se meurt et la terre se transforme en déserts sans vie. L’érosion des sols en Iran est une autre facette essentielle de ce phénomène. Selon les statistiques, l’Iran a l’une des pires érosions du sol au monde (« l’érosion des sols en Iran est 2,5 fois supérieure à la moyenne mondiale »).
Un autre fait important est la destruction sur le mont Jahask de la ville de Nayriz dans la province de Fars, parce que les autorités iraniennes ont tenté de céder cette montagne au secteur privé pour des travaux miniers.
Pillage des ressources en eau
Le pillage des ressources naturelles ne se limite pas aux montagnes et à la terre. Le gouvernement iranien vend l’eau, la plus importante source de vie, à d’autres pays, alors que l’Iran et son peuple eux-mêmes ne disposent pas de suffisamment d’eau potable.
Un exemple est que le gouvernement iranien transporte de l'eau en Irak depuis 2009. Il transporte 12 000 mètres cubes d'eau à Basra. Interrogé sur l'entrepreneur du projet, l'ancien premier ministre irakien, Nuri Al-Maliki, a déclaré qu'il ne pouvait pas dévoiler le nom de l'entrepreneur iranien.
Le 5 septembre 2009, le site Internet gouvernemental Asr-e Iran citait le gouverneur de Bassora, Shaltah Aboud, selon lequel « s'il n'y avait pas l'eau de l'Iran, nous mourrions de soif ». Ce commentaire du gouverneur irakien concernait l’importation d’eau potable iranienne en Irak avec des citernes d’eau.
Le 7 octobre 2019, les agriculteurs en colère d’Ispahan ont détruit les canalisations d’eau en raison de l’acheminement de l’eau du fleuve Zayandehroud vers d’autres régions de l’Iran, alors que cette initiative, qui portait le nom de « projet Brujen » a aggravé leurs conditions de vie.
Pillage des forêts
L’extermination des forêts iraniennes est encore un autre délit commis par le gouvernement iranien. Cet acte est l’une des principales catastrophes qui ont complètement ruiné l’écosystème iranien. Selon des analystes, dans 10 à 20 ans, l’ensemble des forêts de la région de Hirkani, dans le nord de l’Iran, sera complètement détruit. L'une des principales raisons est que les autorités iraniennes transforment les forêts en zones résidentielles et les brûlent délibérément. Selon les statistiques, 190 000 hectares de forêts ont été brûlés au cours des 10 dernières années.
Source : INU
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