Le lundi 30 avril 2018, les agents de la sécurité d'Ispahan ont fait référence à la résidence de Mme Enissa, déclarant posséder une assignation.
Une source bien informée a déclaré : « L’ordonnance a été publiée le 3 avril mais ces agents sont entrés dans le complexe résidentiel par la force quand quelqu'un en sortait le 30 avril ».
« Ils sont finalement partis après avoir confisqué tous les livres et les traces qui prouverait qu'elle est bahaïe. Ils ont également emporté son ordinateur portable, ses papiers d'identité et l’ordinateur portable de sa mère », a également expliqué la source.
Cela fait environ trois ans que Mme Enissa Motahar vit à Téhéran et elle ne se rend à Ispahan que pour rencontrer ses parents, sa famille et ses amis.
Source : Les militants des droits de l'homme en Iran - 6 mai 2018
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