Aliraza Tavakoli, qui était actif sur Telegram et qui est maintenant emprisonné depuis deux ans, est privé de soins médicaux, malgré qu'il souffre de douleurs articulaires et de douleurs intestinales.
La prison ne se considère pas comme responsable pour fournir aux détenus des médicaments d'avance et ne leur donne pas non plus d'alternative ; Finalement, le prisonnier ne reçoit pas le traitement dont il a besoin.
Il convient de mentionner que M. Tavakoli, Mohammad Mohajer et Mohammad Mehdi Zaman Saleh, trois militants de Telegram, ont été arrêtés en 2016 et condamnés chacun à 12 ans d'emprisonnement.
Après avoir protesté contre le jugement, la cour de révision a appliqué la loi 134 de la sanction du droit islamique et la peine pour « insulte du sacré » a été comptée comme la peine la plus élevée pour eux et leur condamnation a été réduite à cinq ans.
Source : Les militants des droits de l'homme en Iran - 5 mai 2018
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