mercredi 1 avril 2020

Maryam Radjavi : les lourdes peines infligées à des militants politiques reflètent la cruauté du régime des mollahs


Appel à la HCDH et au Rapporteur spécial de l’ONU à agir d’urgence pour la libération de ces prisonniers
L’appareil judiciaire du régime des mollahs à Machad, a condamné l’enseignant défenseur de la liberté Hashem Khastar à une peine définitive et inhumaine de 16 ans de prison et de deux ans d’exil intérieur. MM Mohammad-Hossein Sepehri et Mohammad Nourizad, ainsi que Mme Fatemeh Sepehri ont aussi été condamnés à de lourdes peines de prison et à un exil intérieur. Ils avaient demandé la démission de Khamenei.

Mayam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne, a dénoncé ce verdict criminel, qui plus est en pleine crise du coronavirus où les prisonniers doivent être libérés de toute urgence, comme reflétant ouvertement la cruauté du guide suprême des mollahs et de son chef du judiciaire. Elle a appelé la Haute-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU et le Rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Iran à intervenir pour faire libérer ces prisonniers qui risquent de perdre la vie. Maryam Radjavi a ajouté que ces prisonniers n’étaient coupables que d’avoir exprimé leur opinion politique. Hashem Khastar est un enseignant qui paye le prix de ses paroles et de ses écrits.
Le 3 février dernier, Maryam Radjavi avait aussi vigoureusement condamné le premier verdict prononcé contre ces prisonniers politiques, et avait estimé que ces lourdes peines de prison témoignaient à nouveau la conduite répressive et inhumaine de la dictature religieuse qui doit être renversée dans sa totalité.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 1er avril 2020

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