Le 9 décembre, à la veille de la Journée internationale des droits humains, le régime criminel des mollahs a exécuté six prisonniers, dont trois femmes, à la prison de Kerman. Durant la même semaine, au moins trois autres prisonniers ont été pendus à Zandjan, Ispahan et Nichapour.
Ainsi, au moins 187 prisonniers ont été exécutés depuis l’arrivée d’Ebrahim Raïssi à la présidence et la nomination d’un autre bourreau Mohseni-Eje’i à la tête du pouvoir judiciaire.
Le régime criminel des mollahs, encerclé de grandes crises économiques et dans la crainte du soulèvement du peuple iranien, a trouvé la seule issue dans l’escalade de la répression et la multiplication des exécutions. L’existence de ce régime est tellement liée à la répression, à la torture et au crime qu’il est incapable d’arrêter les exécutions collectives, même pour la Journée internationale des droits humains. Un tel régime doit être rejeté par la communauté internationale.
Le bilan de 4 décennies de crimes contre l’humanité et de génocide par le fascisme religieux au pouvoir en Iran doit être renvoyé devant le Conseil de sécurité de l’ONU et ses dirigeants doivent être traduits en justice.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 10 décembre 2021
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