Au quatrième jour de la grève de la faim des prisonniers politiques à la prison d’Oroumieh, dans le nord-ouest de l’Iran, la Résistance iranienne souligne une fois de plus la nécessité d’envoyer une délégation internationale inspecter les prisons en Iran, notamment celle d’Oroumieh, et d’y rencontrer les prisonniers politiques. Des dizaines de détenus politiques à Oroumieh sont en grève de la faim depuis le dimanche 12 décembre, protestant contre leur éventuel transfert dans un nouveau quartier, qui manque d’installations de base et d’espace suffisant, et qui est soumis à des contrôles et des restrictions beaucoup plus stricts.
La Résistance iranienne appelle le Secrétaire général des Nations Unies, le Conseil des droits de l’homme et sa Haute-Commissaire et ses rapporteurs concernés de l’ONU, ainsi que l’ensemble des organes des droits humains, à condamner la torture, les mauvais traitements, les persécutions et l’élimination des prisonniers politiques par le régime des mollahs.
Le dossier des violations horribles et systématiques des droits humains en Iran doit être soumis au Conseil de sécurité de l’ONU, et les dirigeants de ce régime doivent être traduits en justice pour quatre décennies de génocide et de crimes contre l’humanité, dont le massacre de 30 000 prisonniers politiques en 1988.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 15 décembre 2021
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