Le régime clérical ne peut durer un seul jour sans exécution. Ses dirigeants doivent être jugés pour quatre décennies de crimes contre l’humanité et de génocide.
Le dimanche 18 décembre 2021, le régime clérical a exécuté une prisonnière nommée Fatemeh Aslani à la prison d’Ispahan et trois prisonniers nommés Hamed Darvish, Naïm Shahbakhsh et Abdol Khaled Salarzehi à la prison de Chiraz. Le 17 décembre, le prisonnier Hadi Shahriari avait été pendu à la prison d’Adelabad à Chiraz.
Ainsi, le nombre d’exécutions enregistrées au cours du mois iranien d’Azar (22 novembre-21 décembre 2021) s’élève à au moins 39 prisonniers, dont sept femmes et trois personnes âgées de moins de 18 ans au moment de leur arrestation. Le nombre d’exécutions enregistrées depuis la nomination d’Ebrahim Raïssi à la présidence et de Gholam-Hossein Mohseni Eje’i à la tête du pouvoir judiciaire a atteint 210.
En intensifiant la répression et en multipliant les exécutions, le fascisme religieux au pouvoir en Iran tente en vain de contenir la colère et l’indignation de la population à son encontre et d’empêcher les soulèvements qui mettront fin à son régime. Un régime qui ne peut durer un seul jour sans exécutions ni répression. La poursuite et le développement des relations avec le régime clérical en Iran doivent être subordonnés à l’arrêt des exécutions et de la torture. Le Conseil de sécurité de l’ONU doit être saisi du bilan des droits humains de ce régime, qui porte sur quatre décennies de crimes contre l’humanité et de génocide, et ses dirigeants, en particulier Khamenei, Raïssi et Eje’i, doivent être traduits en justice.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 23 décembre 2021
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