Le 15 décembre, le régime criminel des mollahs a exécuté six prisonniers à la prison de Gohardacht (à Karadj), Ghayen et Ardebil : Hamed Moussavi, Kouroch Motahari, Davoud et un autre condamné à Gohardacht, Mohammad Khoda’i à Ardebil, et Ali Nohtani (Norouzi) à la prison de Ghayen.
Le 12 décembre également, un jeune condamné, Mohammad Tazeh-Kar, avait été exécuté dans la ville de Mechkine-Chahr, et deux détenus, Bakhtiar Sarmadi et Hossein Heydarzadeh, avaient été pendus à la prison d’Adelabad de Chiraz. Le 11 décembre, un homme de 35 ans, Sivan Hosseini, était exécuté à la prison de Sanandaj. Cela porte donc à dix le nombre d’exécutions en cinq jours et à 31 depuis le début du mois iranien d’Azar (començant le 22 novembre), dont cinq femmes, à travers l’Iran.
La dictature religieuse, plongée dans les crises internes et étrangères, et redoutant la montée des soulèvements d’une population en colère, ne trouve comme seule solution que d’intensifier la répression, la torture et les exécutions. C’est l’une des missions d’Ebrahim Raïssi, bourreau du massacre de 1988, à la présidence des mollahs. Ce régime est la honte de l’humanité contemporaine. Il doit être exclu de la communauté internationale. Il faut renvoyer le dossier de quatre décennies de crimes contre l’humanité et de génocide du fascisme religieux au pouvoir en Iran devant le conseil de sécurité de l’ONU et traduire en justice ses dirigeants.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 16 décembre 2021
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