Rejetant clairement les stratégies diplomatiques antérieures, le général Jones, ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, a affirmé que l’ingérence de Téhéran constituait un obstacle majeur à la recherche d’une solution fondée sur la coexistence de deux États. « Sans l’ingérence de l’Iran, une solution à deux États… aurait pu être trouvée dès 2008 », a affirmé le général Jones, soulignant les occasions manquées pour la paix.
Soulignant l’influence de Téhéran sur le chaos régional, l’ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis a dénoncé le rôle du régime dans le soutien aux groupes qui rejettent le droit à l’existence d’Israël. « Le Hamas, le Hezbollah et le Jihad islamique ont constamment sapé l’Organisation de libération de la Palestine et le président palestinien, Mahmoud Abbas », a-t-il déclaré, soulignant le rôle de l’Iran dans la promotion de la division.
L’ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis a exprimé son soutien au Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) en tant qu’alternative viable au gouvernement iranien actuel. Il a plaidé en faveur d’un changement de politique mondiale qui renforcerait les sanctions et protégerait les réfugiés politiques, comme ceux d’Ashraf 3, en Albanie.
L’avenir du Moyen-Orient et la stabilité mondiale dépendent de la trajectoire de l’Iran », a déclaré M. Jones, exhortant la communauté internationale à soutenir le peuple iranien dans sa quête de démocratie et de droits de l’homme. Il a dépeint l’état actuel de l’Iran comme un pays de tyrannie et de souffrance, où les récentes manifestations ont été brutalement réprimées.
Dans son discours, M. Jones, ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, a également mis en garde contre les fausses alternatives au régime, suggérant qu’elles ne servaient qu’à saper l’opposition légitime. Il a fait l’éloge des dirigeants du CNRI, en particulier de Mme Radjavi et de son plan en dix points pour un Iran démocratique, qu’il a comparé à une « vision de Jefferson ».
En conclusion, le général Jones a appelé à la solidarité avec le peuple iranien dans sa quête d’une république progressiste. « Il est temps de regarder au-delà des gros titres, au-delà de la propagande, et de reconnaître le potentiel d’une nation prise en otage par ses dirigeants », a-t-il imploré, affirmant que le soutien aux aspirations démocratiques de l’Iran est non seulement conforme aux valeurs américaines, mais aussi crucial pour la paix et la sécurité dans le monde.
L’intégralité du discours de l’ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, prononcé avec conviction et urgence, résonne comme un message clair aux décideurs politiques : il est temps de changer la politique iranienne.
Source : Stop au Fondamentalisme/ CSDHI
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