Le Temps (Suisse) - Vendredi au Palais des Nations, le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) a profité des projecteurs braqués sur la situation des droits de l’homme en Iran pour attirer l’attention sur le sort des siens.
Présente à Genève Maryam Radjavi, la présidente du CNRI, a réitéré sa demande d’enquête indépendante sur l’attaque qui a visé le 1er septembre 2013 le camp d’Achraf, au nord de Bagdad, où subsistaient 103 Moudjahidin du peuple après le transfert de 3000 autres à l’ancienne base militaire américaine de Liberty.
Sept personnes dont six femmes avaient été kidnappées, dont le mouvement reste sans nouvelles. Maryam Radjavi a également dénoncé le blocus alimentaire qui pèse sur le camp Liberty depuis une dizaine de jours.
« Il y a crime de guerre, car on affame des populations civiles, ces personnes sont en danger de mort », l’a appuyée Jean Ziegler, expert au comité consultatif du Conseil des droits de l’homme.
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