Le comité chargé de la répression d’Achraf au cabinet du premier ministre irakien, dans une mesure inhumaine et contraire à l’islam, refuse de restituer pour l’enterrer le corps de Hamid Chakeri, opposant iranien, membre de l’Ompi, habitant du camp Liberty, décédé le 13 octobre 2013 dans un hôpital de Bagdad. Or le juge de Karkh a délivré le permis d’inhumer depuis longtemps.
Ce comité empêche aussi l’enterrement des corps des quatre victimes de l’attaque à la roquette du 26 décembre 2013 sur le camp Liberty (Mohammad Najafi, Mohammad Saleh Tehrani, Mahmoud Norna-Fard et Yahyah Ziarati), deux mois et demi après. Les démarches permanentes des représentants des habitants auprès du poste de police de Liberty et des observateurs de l’ONU n’ont mené à rien.
Auparavant aussi, les forces de Maliki, dans une mesure ignoble, avaient refusé de rendre les corps des 52 victimes du massacre du 1er septembre à Achraf, aux membres de leurs familles à Liberty et pour faire disparaitre toute trace de ce crime contre l’humanité, ils ont enterré les corps dans la clandestinité dans un lieu inconnu.
La Résistance iranienne appelle le secrétaire général de l’ONU, le HCR, le HCDH et les autorités américaines à agir rapidement pour mettre fin à ces mesures inhumaines du pouvoir irakien, des mesures qui violent de nombreuses conventions internationales sur le respect dû aux défunts.
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