"L'Irak doit cesser sa tyrannie et sa cruauté à l'encontre des opposants iraniens au camp Liberty et assurer la protection de ses habitants jusqu'à leur transfert vers un lieu plus sûr", a exhorté l'ancien vice-président irakien Tariq Al-Hashemi, dans une lettre au Secrétaire général des Nations-Unies.
Le Dr Tariq Al-Hashemi a condamné le rôle de l'Iran et de l'Irak dans le massacre de 52 membres de l'opposition iranienne des Moudjahidine du peuple (OMPI), le 1er septembre 2013 au camp d'Achraf.
Dans sa lettre adressée à Ban Ki-Moon, M. Al-Hashemi écrit à propos des récentes violences en Irak souligne également: " La vie de la population innocente d'Irak est en danger dans la province d'Al-Anbar en raison des bombardements aveugles des forces du gouvernement Maliki. Au cours des deux derniers mois, des milliers de mes compatriotes ont été tués et blessés dans cette province et des centaines de milliers d'autres ont dû fuir leurs foyers." La cruauté et la tyrannie de ce gouvernement, a-t-il ajouté, touche non seulement le peuple irakien, mais également les réfugiés qui sont considérés depuis un quart de siècle comme des hôtes dans notre pays.
Dans sa lettre adressée à Ban Ki-Moon, M. Al-Hashemi écrit à propos des récentes violences en Irak souligne également: " La vie de la population innocente d'Irak est en danger dans la province d'Al-Anbar en raison des bombardements aveugles des forces du gouvernement Maliki. Au cours des deux derniers mois, des milliers de mes compatriotes ont été tués et blessés dans cette province et des centaines de milliers d'autres ont dû fuir leurs foyers." La cruauté et la tyrannie de ce gouvernement, a-t-il ajouté, touche non seulement le peuple irakien, mais également les réfugiés qui sont considérés depuis un quart de siècle comme des hôtes dans notre pays.
" Il ne fait aucun doute que cette situation périlleuse et explosive en Irak découle de l'influence néfaste et sans borne du régime iranien sur le gouvernement Maliki et ses forces de sécurité », a ajouté l'ancien vice-président irakien
Il a poursuivit : " L'Irak a perpétré le massacre d'Achraf à la demande de l'Iran et refuse à présent d'enquêter sur cette atrocité. (…) Au cours des dernières semaines nous avons été témoin d'une escalade dans les pressions exercées sur les habitants du camp Liberty et les conditions imposées à ses habitants sont pires que le traitement infligé aux prisonniers. En plus du blocus alimentaire et médical, ils n'ont pas de liberté de mouvement et ne peuvent avoir accès au marché de l'alimentation. Ces restrictions ont eues comme conséquence de créer des conditions de vie éprouvantes dans le camp Liberty.
" Le retour des murs en béton et d'autres moyens de protection pour les protéger des attaques à la roquette, notamment des gilets pare-balles et des casques de protection, ainsi que le transfert des équipements médicaux d'Achraf et l'installation dans le camp d'une équipe de surveillances des casques bleus des Nations unies, constituent les exigences les plus pressantes pour empêcher un autre tragédie humanitaire, dont l'éventualité ternira davantage l'image de l'Irak sur la scène internationale", a conclut M. Al-Hashemi.
Il a poursuivit : " L'Irak a perpétré le massacre d'Achraf à la demande de l'Iran et refuse à présent d'enquêter sur cette atrocité. (…) Au cours des dernières semaines nous avons été témoin d'une escalade dans les pressions exercées sur les habitants du camp Liberty et les conditions imposées à ses habitants sont pires que le traitement infligé aux prisonniers. En plus du blocus alimentaire et médical, ils n'ont pas de liberté de mouvement et ne peuvent avoir accès au marché de l'alimentation. Ces restrictions ont eues comme conséquence de créer des conditions de vie éprouvantes dans le camp Liberty.
" Le retour des murs en béton et d'autres moyens de protection pour les protéger des attaques à la roquette, notamment des gilets pare-balles et des casques de protection, ainsi que le transfert des équipements médicaux d'Achraf et l'installation dans le camp d'une équipe de surveillances des casques bleus des Nations unies, constituent les exigences les plus pressantes pour empêcher un autre tragédie humanitaire, dont l'éventualité ternira davantage l'image de l'Irak sur la scène internationale", a conclut M. Al-Hashemi.
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