Les familles des martyrs de l’organisation des moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI/MEK) et des prisonniers politiques soutiens de l’OMPI/MEK, à Téhéran, Shahrekord, Tabriz et Machhad ont fait une déclaration en soutien à la prisonnière politique Maryam Akbari Monfared… et ont appelé à sa libération immédiate et inconditionnelle.
Extrait de la déclaration des familles des martyrs de l’OMPI/MEK à Machhad :
« Nous, un groupe de famille des martyrs de l’OMPI/MEK des années 1980 à Machhad, déclarons notre soutien à la prisonnière politique Maryam Akbari Monfared. Sa demande pour la justice et un procès pour les victimes du massacre de 1988 est également la nôtre et notre plainte. »
« Nous, les familles des martyrs de l’OMPI/MEK à Machhad demandent la libération immédiate et inconditionnelle de Maryam Akbari Monfared et demandons à tous les organes internationaux des droits de l’Homme, les militants et les défenseurs de la liberté autour du monde de nous soutenir dans notre demande légitime pour la libération de tous les prisonniers politiques, notamment Maryam Akbari Monfared. »
Extrait de la déclaration des familles des martyrs de l’OMPI/MEK et des prisonniers politiques à Shahrekord :
« Nous, un groupe de soutien de l’OMPI/MEK à Shahrekord, recommandons et apprécierons la loyauté de Maryam Monfared, incarcérée dans la prison du régime des mollahs en Iran, et nous appelons tous nos compatriotes et toutes les organisations internationales des droits de l’Homme à protester contre les restrictions imposées à Maryam et aux prisonniers politiques et demandons leur libération inconditionnelle »
Extrait de la déclaration des familles des martyrs de l’OMPI/MEK à Tabriz :
« Nous, un groupe de famille des martyrs de l’OMPI/MEK à Tabriz, soutenons la prisonnière politique Maryam Akbari Monfared et demandons sa libération immédiate et inconditionnelle de la prison. »
« La prisonnière politique, Maryam Akbari Monfared, qui (en portant plainte officiellement) demande un procès des meurtriers de ses frères et sœurs pendant le massacre des prisonniers politiques de 1988 en Iran, doit faire face désormais la colère du régime iranien. En conséquence, on lui refuse tout traitement médical (et la visite de sa famille). Nous demandons à tous les organes internationaux des droits de l’Homme de faire pression sur le régime iranien pour qu’il la libère immédiatement. »
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