Campagne des sympathisants de l’OMPI et des unités de Résistance : « en souvenir de 30.000 prisonniers politiques et résistants qui ont tenu bon devant le fascisme religieux.»
À l’occasion du 32e anniversaire du massacre des prisonniers politiques en 1988, des unités de résistance et de jeunes sympathisants des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) à travers le pays ont rendu hommage aux martyrs du massacre et ont appelé à punir les auteurs de ce grand crime contre l’humanité, qui sont actuellement des dirigeants et des officiels du régime. Ils ont également exprimé leur colère et leur écœurement face à l’exécution de Mostafa Salehi, prisonnier du soulèvement, qui a été exécuté le 6 août 2020.
Ces activités ont été menées à Téhéran et dans la plupart des villes du pays, notamment Ispahan, Islamchahr, Karadj, Varamine, Amol, Qom, Avaj (Hamadan), Esfarayen, Lahijan, Tabriz, Machad, Choushtar, Kachan et Zandjan.
Parmi les slogans des campagnes de la semaine dernière on pouvait lire dans les graffitis ou les tracts et les banderoles dans les lieux publics : « Maryam Radjavi : il faut juger les assassins de 30.000 prisonniers Moudjahidine du peuple », « Maryam Radjavi : les jeunes insurgés s’inspirent des victimes du massacre de 1988 », « Ni oubli, ni pardon pour le massacre des prisonniers aux mains liées », « Nous exigeons des comptes des auteurs du grand crime contre l’humanité de 1988 », « Le massacre de 1967 est le plus grand crime contre l’humanité resté impuni », « Levez-vous pour renverser le régime du guide suprême », « A bas Khamenei !Vive Radjavi ! », « Nous soutenons les ouvriers en grève ! », « Gloire au martyr du soulèvement Mostafa Salehi », « Un Iran libre avec Maryam Radjavi ».
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 21 aout 2020
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