Tehran- 1988 massacre is the biggest unpunished crime against humanity – July 31, 2020
A l’occasion du 32ème anniversaire du massacre de 30 000 prisonniers politiques de l’été 1988 en Iran, les partisans de l’organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) et les unités de résistance ont commémoré les héros tombés et ont appelé à ce que les auteurs de ce crime contre l’humanité soient poursuivis. Ces activités ont eu lieu à Téhéran et dans la plupart des villes, notamment Semnan, Chiraz, Roudsar, Racht, Ispahan, Machad, Iranchahr, Zandjan, Ahwaz, Ilam, Khorramabad, Qom, Karadj, Kermanchah, Dezfoul, Shahriyar, Kerman, Mazandaran, Babol, Zahedan, Boroujerd, Hamedan, Nichapour, Tabriz et Hashtgerd.
En août 1988, plus de 30 000 prisonniers politiques, pour la plupart membres et sympathisants des Moudjahidines du peuple (OMPI/MEK), ont été massacrés par le régime clérical, ce qui constitue un cas manifeste de crime contre l’humanité.
Parmi les slogans de cette campagne figuraient : « Nous exigeons que les auteurs du massacre contre l’humanité de 1988 rendent des comptes », « Le massacre de 1988, le plus grand crime contre l’humanité resté impuni », « Le sang des martyrs du massacre de 1988 est la semence des soulèvements en Iran », « Ni pardon, ni oubli pour le massacre de 1988 des prisonniers politiques », « Maryam Radjavi : Notre engagement est de rester fidèle à la souveraineté populaire et au vote du peuple », « Nous renverserons ce régime et reprendrons l’Iran aux mollahs », « A bas Khamenei, Vive Radjavi ! »
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 6 août 2020
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