Dans son contreventions aux côtés de ses collègues parlementaires et Maryam Radjavi, présidente-élue du CNRI, principale intervenante à l’évènement, Emile Blessig a déclaré :
« Je dois dire que, bien entendu, je m’associe à tout ce qui a été dit. Le combat de la résistance iranienne est un combat ancien. Cela a été rappelé, voici quarante ans que la dictature des mollahs s’est imposée en Iran et en 40 ans bien des choses ont changé dans l’environnement international.
Nous vivons dans un monde de plus en plus dangereux et un monde où l’on remarque la prise de pouvoir d’autocrates et d’un certain nombre de dictatures.
Par conséquent, les tenants de la démocratie doivent continuellement faire des efforts pour soutenir les démocraties qui sont plus faibles qu’on imagine. Et parmi les efforts que nous devons faire, je pense que le soutien tout particulièrement à la résistance iranienne qui combat un régime extrêmement dangereux, dans une partie du monde qui reste une poudrière pouvant engager des conséquences internationales innombrables.
Par conséquent, le combat de la résistance iranienne est en priorité un combat pour tous les Iraniens pour le retour à la liberté et au valeurs démocratiques. C’est aussi un combat qui est utile à la construction de la paix dans cette région du monde particulièrement dangereuse et particulièrement sensible. Les derniers éléments d’information que nous ayons eus, notamment en ce qui concerne le nucléaire, sont là pour le démontrer.
Alors, Mme Radjavi et tous les membres du CNRI, merci pour votre action. Et même lorsqu’on est honoraire, lorsqu’on a quitté l’arène, on peut continuer à apporter- chaque fois que c’est possible, là où nous pouvons le faire- notre soutien. »
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