Les agents du régime l’ont arrêtée avec sa mère en 1981. Elle est restée en prison jusqu’en 1988. La peine de prison de Farahnaz était officiellement terminée. Cependant, comme elle avait refusé de faire une interview, les autorités ont refusé de la libérer. Alors, elle est restée en détention.
Les autorités iraniennes font pression sur de nombreux prisonniers pour qu’ils réalisent des interviews enregistrées sur vidéo, se repentant de leurs croyances passées et déclarant leur loyauté envers le régime des mollahs.
Farahnaz était censée être libérée bien avant le mois d’août 1988, lorsqu’elle a été extraite d’un des quartiers de la prison d’Evine pour être pendue.
Quelques jours plus tôt, Hossienzadeh, le directeur de la prison, avait dit à Farahnaz : « Nous allons te libérer bientôt. »
La plupart des prisonniers tués lors du massacre de 1988 purgeaient de longues peines de prison. Beaucoup d’entre eux avaient déjà fini de purger leur peine initiale.
Source : Iran HRM
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