M. Hassan Habibi, sympathisant de l’OMPI et partisan de longue date de la Résistance iranienne, a été attaqué en raison de la pancarte qu’il portait où il y avait écrit « ni chah ni mollah, ni couronne, ni turban ». Ayant perdu connaissance, il a été transporté à l’hôpital.
Des agents en civil l’ont d’abord traqué dans la foule puis conduit près de la scène où ils l’ont jeté à terre et frappé avec un lourd objet métallique à la nuque et lui ont fait perdre connaissance. Le certificat de l’hôpital indique une contusion à la base du crâne et une perte de connaissance à la suite d’une blessure avec une commotion cérébrale.
C’est l’œuvre de la patrouille des mœurs du fils du chah et du bourreau en chef de la SAVAK Parviz Sabeti devant le siège de l’Union européenne pour inscrire les pasdarans sur la liste noire et le point commun des pasdarans et de la SAVAK concernant la liberté d’expression et les slogans contre les mollahs et le chah.
La situation de Hassan Habibi et le film le montrant traqué dans la foule, emmené près de la scène et battu, ainsi que le certificat de l’hôpital ont été confiés à la police, et sa plainte est en cours.
Mme Mahnaz Arab, partisane de l’OMPI et parente du martyr de l’OMPI Mohsen Arab, a été frappée et envoyée à l’hôpital pour avoir crié le slogan « à bas l’oppresseur ».
Récemment, 175 membres de l’OMPI ont annoncé être prêts à témoigner sur les tortures de la police secrète du chah, la SAVAK, et le rôle de Parviz Sabeti dans trois communiqués successifs. Cela a suscité la fureur et la haine des vestiges du chah, de la SAVAK et de leurs complices.
La Résistance iranienne demande à la police et aux autorités belges d’enquêter sur les actions des auteurs et des commanditaires de ces attaques ignobles.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 20 février 2023
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