
Majid Pili, 41 ans, était originaire de la ville de Ramsar, dans le nord du pays, et il avait passé trois ans dans la prison de Tonekabon. La cour suprême d’Iran a confirmé la condamnation à mort de Pili en début d’année.
Source : Les Militants des droits de l'homme en Iran - 25 septembre 2018
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