Le MAE polonais en visite en Iran, s'est dit choqué de constater que même les sites d'informations polonais étaient censurés dans ce pays.
L'agence de presse iranienne Mehr a rapporté les propos de Radoslaw Sikorski, ministre polonais des Affaires étrangères, lors d'une conférence de presse le 1er mars à Téhéran, en présence de son homologue iranien Mohammad-Javad Zarif:
L'agence de presse iranienne Mehr a rapporté les propos de Radoslaw Sikorski, ministre polonais des Affaires étrangères, lors d'une conférence de presse le 1er mars à Téhéran, en présence de son homologue iranien Mohammad-Javad Zarif:
"Hier, à Ispahan, nous voulions accéder au site Internet d'un des plus grands quotidiens polonais, mais cela n'a malheureusement pas été possible, parce que ce site avait été censuré. Nous avons été choqué et j'ai dis à Monsieur le ministre que nous devions également discuter de la question des droits de l'homme".
Sous la présidence du mollah Rohani, le contrôle de l'Internet et des réseaux sociaux s'est intensifié en Iran. Les agents des services de renseignements procèdent à l’identification et l’arrestation systématiques des dissidents actifs sur la toile.
Il existe une douzaine d’organes chargés de la censure de l’information sur Internet, disposant d’énormes fonds. L’un de ces organes s’appelle « le Comité de répression de la cybercriminalité ». Il est présidé par le procureur général du régime et son instance dirigeante est composée de six ministres, ainsi que le chef de l’Organisation de la propagande islamique, le directeur de la radio-télévision d’Etat et le commandant en chef de la police.
Sous la présidence du mollah Rohani, le contrôle de l'Internet et des réseaux sociaux s'est intensifié en Iran. Les agents des services de renseignements procèdent à l’identification et l’arrestation systématiques des dissidents actifs sur la toile.
Il existe une douzaine d’organes chargés de la censure de l’information sur Internet, disposant d’énormes fonds. L’un de ces organes s’appelle « le Comité de répression de la cybercriminalité ». Il est présidé par le procureur général du régime et son instance dirigeante est composée de six ministres, ainsi que le chef de l’Organisation de la propagande islamique, le directeur de la radio-télévision d’Etat et le commandant en chef de la police.
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