En plus du phénomène d’avortement, il y a également le phénomène d’« utérus à louer » qui s’est largement développé en Iran ces dernières années. Dans ce 595e problème le 31 octobre, le journal Noavaran a publié un rapport sur la vente des fœtus in utero qui indique : « Dans le désordre économique et social du pays et parmi les publicités étranges et dérangeantes, qui vendent des reins entre autres, sur les murs des rues, des hôpitaux et des cliniques, depuis quelques années on peut trouver de nouvelles publicités exotiques qui vendent des fœtus in utero. »
Le quotidien dénonce les groupes opportunistes au sein du régime qui ont créé des entreprises pour profiter des gens qui vivent dans la pauvreté et poursuit : « Bien que le problème de la vente de fœtus individuel en tant que moyen de survie soit regrettable, la transformation de ce phénomène en entreprise par des groupes de courtage qui souhaitent faire du profit l’est encore plus. »
Le quotidien ajoute : « En créant des entreprises de courtage, ces opportunistes profitent des pauvres d’un côté et des couples stériles d’un autre. Donc ils pêchent en eaux troubles et font le commerce d’ovules en échange de millions de tomans et selon certains documents, il y a un échange de 3 à 12 millions de tomans en achetant et vendant des fœtus. »
Le quotidien recommande que « si le commerce d’embryons est supposé être une solution pour les couples stériles, alors tous les aspects doivent être étudiés attentivement et revus par tous les organes concernés. Ainsi cela pourra être interdit s’il peut y avoir des conséquences indésirables ou cela pourra être contrôlé de près pour empêcher que cela dérive et cela pourra être utilisé comme une solution alternative. »
Il faut souligner que les vols énormes et les fraudes astronomiques des membres du régime, dont certains sont révélés chaque jour dans les médias du régime, sont la principale raison pour laquelle les Iraniens vivent dans une telle pauvreté et misère qu’ils en viennent à vendre leurs enfants in utero pour survivre.
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