Le régime iranien a été secoué par des allégations scandaleuses contre un récitant coranique affilié au cabinet du Guide Suprême, du nom de Saeid Toosi, qui est accusé d'avoir violé des stagiaires mineures.
Le vice-président du Parlement du régime des mollahs a déclaré que la longue enquête sur l'affaire Saeid Toosi « ne semble pas normale », qu'une « négligence » a eu lieu et qu'une « approche judiciaire inadéquate » concernant l'affaire a été adoptée.
En ce qui concerne le cas de Saeid Toosi et les remarques suggérant que sa couverture médiatique affaiblira le régime, Ali Motahari a déclaré : « apparemment, les autorités judiciaires ont agi selon leur propre convenance, de sorte que, par exemple, étant donné que le défendeur est un récitant coranique, il vaudrait mieux ne pas le poursuivre sérieusement, ce qui est une mauvaise approche et ne respecte pas la justice islamique et celle d'Alavi. »
Il a ajouté : « la prolongation de l'enquête sur le cas de Saeid Toosi ne semble pas être normale. En outre, il cela a obligé certains plaignants à recourir à des médias étrangers et à être ensuite accusés de complicité dans le crime. »
Il a ajouté : « pourquoi quelqu'un avec un tel cas serait invité à une cérémonie officielle, comme l'ouverture de la dixième législature, afin de réciter le Coran ? Naturellement, on soupçonne qu'ils vont effrayer les plaignants pour qu’ils retirent leurs plaintes. »
Pour ce qui concerne la couverture médiatique de l'affaire, Motahari a déclaré que « la nature des médias est de découvrir la vérité et de respecter les droits des victimes, bien que certains médias poursuivent leur propre objectif de frapper le système. »
Le vice-président du Parlement du régime iranien a déclaré : « il semble qu'une négligence a été commise en ce qui concerne le cas de Toosi, ce qui a maintenu l’affaire ouverte pendant cinq ans, alors que les plaignants et leurs familles auraient dû recevoir une sorte de consolation beaucoup plus tôt, si le résultat était un acquittement ou une condamnation. »
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