Revoilà Ali Khamenei qui pointe son turban noir de haine dans le peloton de tête des violateurs des droits humains.
Dans ses fonctions de guide suprême de la dictature religieuse en Iran, il vient de remporter la 169e place sur 180 pays en matière de liberté de la presse, soit une arrivée en danseuse dans le peloton de tête serré des prédateurs de la liberté de la presse dans le monde. Une place décernée par Reporters sans frontières qui lui dédie un certificat en bon et due forme.
"Prédateur depuis 1989", il a eu le temps de faire ses classes auprès de son mentor Khomeiny, qui a mis le pays et les voisins à feu et à sang avant de léguer toutes ses calamités au mollah Khamenei, propulsé en une nuit Guide suprême.
Il a pour caractéristique le "harcèlement sans répit", explique RSF. "Les journalistes citoyens, très nombreux en Iran, sont surveillés, harcelés, convoqués pour interrogatoire et souvent condamnés à de la prison, où ils sont détenus dans des conditions effroyables".
Sous la présidence de Rohani dont on nous bassine à longueur d'articles qu'elle est modérée, "au moin 40 jouralistes ont été convoqués par les autorités, 15 ont été condamné à des peines de prisons" et ce depuis 2015 seulement. "24 journalistes indépendants sont actuellement en détention", ce dont les confrères des pays occidentaux parlent très, très rarement. Relations économiques obligent ?
RSF note, comme si besoin était, que "le pays est, depuis que le classemnt existe, constamment classé parmi les pires régimes du monde". Une mention spéciale et des remerciements à RSF.
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