jeudi 6 août 2020

Les partisans du MEK et du CNRI se rassemblent en Belgique pour condamner le terrorisme du régime iranien


 Des Iraniens, partisans de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) et du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), ont organisé un rassemblement de protestation le 1er août à Bruxelles, en Belgique, devant l’ambassade du régime, et ont condamné le régime iranien. terrorisme.

La manifestation des partisans de l’OMPI a eu lieu quelques jours après le deuxième procès du diplomate terroriste du régime iranien Assadollah Assadi. Assadi a été arrêté le 1er juillet 2018, avec ses trois complices, alors qu’il tentait de bombarder le rassemblement annuel du CNRI sur «l’Iran libre» à Paris. Assadi et trois autres terroristes sont détenus depuis lors. C’est la première fois qu’un diplomate en Europe est jugé pour implication directe dans le terrorisme.

À la suite des premières manifestations à l’échelle nationale en Iran en 2018, au cours desquelles l’OMPI a joué un rôle de premier plan, et alors que le régime était aux prises avec la crise internationale, les mollahs étaient furieux de la réputation mondiale croissante du CNRI et de sa présidente élue Mme Maryam Radjavi. Par conséquent, pour la première fois, le régime a demandé à son diplomate terroriste de livrer personnellement la bombe afin d’assassiner Mme Radjavi et d’autres partisans internationaux du peuple iranien et de sa résistance.

Plus tôt en mars 2018, le régime a planifié une attaque terroriste contre les célébrations de l’OMPI à Nowruz en Albanie, en présence de Mme Radjavi et d’un groupe d’invités étrangers. Ce complot a également été déjoué et a conduit à l’expulsion de l’ambassadeur du régime et de trois autres diplomates d’Albanie.

En raison de la nature de cette affaire, un tribunal d’Anvers, en Belgique, a tenu la deuxième audience préliminaire sur le cas d’Assadi le 30 juillet 2020, et le panel de trois juges a renvoyé le cas des quatre terroristes emprisonnés devant le contre- Direction du terrorisme. C’était la fin des étapes préliminaires du procès d’Assadi et de ses complices. Le régime luttait désespérément pour empêcher la tenue d’un procès. Le procès débutera le 27 novembre 2020.

Assadi est un officier vétéran du ministère du Renseignement et de la Sécurité (MOIS) et chef de station en Autriche, qui sert de base principale des opérations du MOIS en Europe.

Auparavant, Mme Radjavi avait témoigné pendant sept heures en présentant des documents qui montraient clairement que cette opération terroriste majeure avait été décidée lors d’une session du Conseil suprême de sécurité nationale du régime présidé par le président du régime Hassan Rouhani et approuvée avec l’ordre direct du régime. Le guide suprême Ali Khamenei. Mme Radjavi a souligné qu’en plus d’Assadi et d’autres terroristes arrêtés, les véritables cerveaux, à savoir Khamenei, Rouhani, le ministre des Affaires étrangères du régime, Mohammad Javad Zarif, et le ministre du renseignement et de la sécurité, Mahmoud Alavi doivent être poursuivis. «Cela était nécessaire pour arrêter le terrorisme effréné des mollahs», a-t-elle ajouté.

Outre Mme Radjavi, plusieurs personnalités politiques de premier plan telles que l’ancien Premier ministre algérien Sid Ahmed Ghozali, le sénateur américain Robert Torricelli, l’ancien ministre italien des Affaires étrangères Giulio Terzi, la candidate à l’élection présidentielle colombienne Ingrid Betancourt, l’ancien chef de l’agence de renseignement intérieure française, M. Yves Bonnet, et les députés britanniques Bob Blackman et Roger Godsiff, l’ancien chef du bureau des droits de l’homme de la MANUI en Irak, M. Tahar Boumedra, et l’ancienne législatrice italienne Elisabetta Zamparutti, ainsi que des responsables, des membres et des partisans de l’OMPI et de la résistance iranienne ont également témoigné devant la justice belge.

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