A la veille de la réunion du Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique, l’AIEA, j’appelle les dirigeants américains et européens à porter le dossier du régime iranien devant le Conseil de sécurité de l’ONU.
Il y a trois semaines, Kamal Khrarazi, conseiller de Khamenei et chef du conseil stratégique du régime pour les relations étrangères, a parlé pour la première fois de changer la « doctrine nucléaire » du régime des mollahs pour construire une bombe atomique. Il a souligné que le régime avait « la capacité de produire une bombe nucléaire. »
Sous prétexte d’une éventuelle attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes, le conseiller de Khamenei a annoncé qu’ « il est possible et concevable de réviser la doctrine et la politique nucléaire iranienne en s’éloignant des considérations annoncées précédemment».
Au nom de la résistance du peuple iranien pour la liberté et la paix, j’insiste une fois de plus sur la nécessité d’utiliser le mécanisme de Snapback de la résolution 2231 et de réactiver les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU concernant les projets nucléaires du régime.
Ne permettez-pas qu’il soit trop tard et que le régime échappe à son obligation de rendre des comptes au Conseil des gouverneurs et au Conseil de sécurité.
Placer le régime des mollahs sous le chapitre 7 de la Charte des Nations Unies et qualifier les Gardiens de la révolution d’entité terroriste est une nécessité urgente.
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