La mort d’Ebrahim Raïssi “déclenchera une série de répercussions et de crises au sein de la tyrannie théocratique, ce qui incitera les jeunesses rebelles à passer à l’action”, a-t-elle espéré.
Le CNRI est l’une des principales organisations d’opposition hors d’Iran. Il est la vitrine politique de l’Organisation des moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI ou MEK), qui accuse le président défunt d’avoir joué un rôle clé dans l’exécution de milliers de prisonniers d’opposition alors qu’il était procureur adjoint de Téhéran.
“Raïssi était un homme à tout faire pour Khameneï dont le régime est confronté à des crises innombrables surtout après le soulèvement de 2022. De ce point de vue, il est un personnage irremplaçable pour le guide suprême”, écrivait un porte-parole du CNRI dimanche, alors que le crash potentiel de l’hélicoptère présidentiel commençait à faire les gros titres.
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