LES PROTESTATIONS OUVRIÈRES SOLIDAIRES DU SOULÈVEMENT, DÉMONTRENT L’IMMENSE CAPACITÉ DE RÉVOLUTION DE LA SOCIÉTÉ IRANIENNE

Message de Maryam Radjavi pour le 1er Mai, la Journée du Travail

Travailleurs, paysans,
Travailleurs en colère, vous qui n’avez accepté ni l’oppression, ni l’inégalité ni la répression et qui vous êtes levés pour protester et vous révolte.
Je vous salue en cette journée internationale du Travail, vous, les millions de femmes et d’hommes honorables, dont tout l’être a été enchaîné par les mollahs avec des contrats temporaires, des salaires impayés, des salaires de misère, la précarité, la pauvreté, l’insécurité, la discrimination et les contrôles répressifs.

Les travailleuses iraniennes face aux risques, au chômage et à l’inégalité

 Marquer la Journée internationale du travail en se penchant sur les défis auxquels sont confrontées les travailleuses en Iran

Le 1er mai est un jour férié reconnu dans de nombreux pays du monde, qui commémore les luttes et les sacrifices des travailleurs et des ouvriers.

Traditionnellement, cette journée est marquée par des manifestations au cours desquelles les travailleurs expriment leurs préoccupations concernant leurs conditions de travail et de vie au moyen de slogans. Malheureusement, sous le régime clérical iranien, le 1er mai n’est pas un jour férié officiel et le régime réprime toute manifestation ou protestation. En fait, les politiques du régime clérical ont intensifié la pauvreté, en particulier pour les travailleuses iraniennes.

Exécution de 6 compatriotes baloutches, dont une femme, samedi et dimanche

 • Mme Maryam Radjavi estime que le régime essaie en vain d’éteindre le feu de la colère populaire, en particulier des compatriotes baloutches, pour échapper à son renversement.

Elle appelle les Nations Unies à prendre des mesures immédiates pour sauver les condamnés à mort et pour que les dirigeants du régime soient traduits en justice.

Nous appelons à édifier une société dont la trame sera constituée de liberté, de démocratie et d’égalité.

 1-Non à la dictature religieuse. Oui à la souveraineté populaire dans une république pluraliste aux élections libres.

2-Liberté d’expression, liberté de partis, liberté de rassemblements, liberté de la presse et du cyberespace.
Dissolution des pasdarans, de la Force terroriste Qods, des agents de répression en civil, de la milice du Bassidj, du ministère du Renseignement, du Conseil de la révolution culturelle et de tous les organes et patrouilles de répression dans les villes, les villages, les établissements scolaires, les universités, les administrations et les usines.

Machad: Projection d’un portrait de Maryam Radjavi

 Dans la nuit du mardi 25 avril, les unités de la Résistance ont utilisé des projecteurs extérieurs pour afficher un portrait de Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), ainsi que la phrase « nous pouvons et devons libérer l’Iran » sur le mur d’un grand immeuble bordant l’autoroute Kalantari près du parc Molkabad de Machad.

Astara : Projection du portrait de Maryam Radjavi

 Lundi 24 avril, à 23h00 heure locale, des unités de Résistance ont projeté le portrait de Maryam Radjavi, la présidente élue du CNRI, accompagné du slogan “on peut et on doit libérer l’Iran” sur un immeubles du boulevard de Khorramshahr.

Le régime iranien au bord du gouffre : Qu’est-ce qui se cache derrière les luttes intestines ?

 Les luttes de pouvoir au sein du régime iranien ont dégénéré, ce qui a incité le Guide Suprême Ali Khamenei à mettre en garde les responsables contre les répercussions désastreuses de leurs conflits internes le 22 avril dernier. Quels sont les facteurs à l’origine de cette escalade du soulèvement ?

Les médias iraniens alertent au sujet de la grave crise économique

 La corruption et la mauvaise gestion ont conduit à une grave crise économique en Iran, avec une inflation qui monte en flèche et la monnaie qui perd une grande partie de sa valeur. Alors que les responsables tentent de nier la calamité financière indéniable, les médias d’État reconnaissent certains aspects de la pire crise économique du pays depuis un siècle.

Inflation et crise du logement en Iran, autres aspects de l’échec du régime

 Ali Khamenei a nommé le nouvel an persan de 1402 « l’année de la maîtrise de l’inflation et de la croissance de la production« . Un mois après le début de la nouvelle année, alors que le taux de production déjà faible de l’Iran a chuté, l’inflation monte en flèche de façon spectaculaire. La hausse du coût du logement et des loyers en témoigne.

Le rôle de la communauté internationale et la crise iranienne – Partie 1

 Le sénateur Robert Toricelli, ancien membre du Sénat américain représentant le New Jersey, qui défend la cause du peuple iranien depuis plusieurs années, a écrit un essai, « Iran Democratic Revolution« , publié par le Comité international à la recherche de Justice (ISJ). La première partie de l’essai :

Le rôle de la communauté internationale
Le soulèvement du peuple iranien, qui a éclaté le 16 septembre 2022, a une fois de plus élevé la crise iranienne au rang de gros titres internationaux. Les filles et les femmes ont défié le système en place, faisant preuve d’un courage sans précédent. En quelques heures, les protestations contre le meurtre d’une jeune femme se sont transformées en soulèvement contre l’ensemble du régime, se propageant dans tout le pays.

Téhéran : de jeunes insurgés visent le QG de commandement du Bassidj à Robat-Karim

 Téhéran : de jeunes insurgés visent le QG de commandement du Bassidj à Robat-Karim en représailles de l’empoisonnement des écolières

Aux premières heures du mardi 25 avril, en représailles à l’empoisonnement des écolières de jeunes insurgés ont visé à Téhéran le QG de commandement de la milice du Bassidj à Robat-Karim. Les détonations des explosions ont retenti dans tout le quartier.

Oroumieh : De jeunes insurgés visent le bureau du conseil des gardiens

 Réagissant à la violence de agents de Khamenei qui ont tué et blessé de jeunes Baloutches, de jeunes insurgés ont visé à Oroumieh le bureau du Conseil des gardiens de la province de l’Azerbaïdjan occidental. Les déflagrations ont retenti dans tout le secteur.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 28 avril 2023

Voir des photos ci-dessous

Manifestations à Zahedan aux cris de « Khamenei, honte à toi, dégage du pays »

 • « Khamenei assassin, son régime est illégitime », « à bas le tyran, qu’il soit chah ou mollah », « ni monarchie, ni guide suprême, démocratie, égalité »

• Rassemblement de protestation à Fanouj et affrontement avec les forces répressives

Ce vendredi 28 avril, comme la semaine dernière, Zahedan la courageuse a manifesté après la prière du vendredi dans les rues de la ville. Les gens scandaient « Khamenei, honte à toi, dégage du pays », « Khamenei assassin, son régime est illégitime », « mon frère martyr, je te vengerai », « liberté, liberté, liberté », « pasdarans, miliciens du Bassidj, vous êtes notre Daech ». Les habitants de Zahedan portaient des banderoles et des pancartes sur lesquelles étaient écrit « ni monarchie, ni guide suprême, démocratie, égalité », « à bas le tyran, qu’il soit chah ou mollah » et « de Fanouj à Zahedan, le sang coule dans tout l’Iran ».

Septième jour de grève des travailleurs, dans 109 usines et entreprises de 38 villes dans 13 provinces

 Septième jour de grève des travailleurs du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, de l’acier, des centrales électriques et des mines de cuivre

Dans 109 usines et entreprises de 38 villes dans 13 provinces

Jeudi 27 avril, la grève des travailleurs du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, de la sidérurgie, des centrales électriques et des mines de cuivre s’est étendue à 109 usines et entreprises de 38 villes dans 13 provinces d’Iran. En gardant le silence sur le mouvement et en l’ignorant ouvertement, les autorités et les médias officiels tentent de forcer les travailleurs opprimés, obligés de subvenir à leurs besoins quotidiens, à briser la grève.

Jamshid Sharmahd, citoyen germano-iranien, court un risque imminent d’exécution

– Le porte-parole du pouvoir judiciaire de la République Islamique a annoncé la confirmation de la condamnation à mort de Jamshid Sharmahd, 67 ans, citoyen germano-iranien, par la Cour Suprême. Il avait été kidnappé par des agents de la République islamique lors d’une escale à Dubaï en 2020.

Iran Human Rights appelle la communauté internationale à empêcher l’exécution de Jamshid Sharmahd en prenant des mesures urgentes et appropriées, et à ne pas rester silencieuse face l’usage politique des otages par la République Islamique.

Exécutions de minorités ethniques en Iran en 2022

 – Ceci est un extrait du Rapport annuel sur la peine de mort et des exécutions en Iran en 2022.

Comme le montrent ce rapport et les rapports annuels précédents, les minorités ethniques en Iran sont surreprésentées dans les statistiques relatives à la peine de mort. En outre, avec 39 exécutions par million d’habitants, la province du Sistan-et-Baloutchistan a enregistré le plus grand nombre d’exécutions par habitant en 2022. Selon le présent rapport, 130 personnes ont été exécutées dans les quatre provinces ethniques de l’Azerbaïdjan occidental, de l’Azerbaïdjan oriental, du Sistan-et-Baloutchistan et du Kurdistan en 2022. Ce chiffre représente plus du double de celui de 2021 (62) et de 2020 (60).

Le pouvoir judiciaire iranien inculpe des journalistes détenues et en convoque d’autres

 Récemment, le pouvoir judiciaire iranien a pris des mesures drastiques à l’encontre de journalistes et de citoyennes. Deux journalistes détenues ont été inculpées, tandis que d’autres journalistes, enseignantes et citoyennes ont été convoquées pour être interrogées. Cette vague d’arrestations et de tortures se poursuit. Même les personnes libérées sous le couvert de l'”amnistie” en février sont à nouveau convoquées et emprisonnées.

L’arrestation et la détention de journalistes et de militantes en Iran constituent une grave violation des droits de l’Homme et de la liberté d’expression. La communauté internationale doit condamner ces actions et faire pression sur le régime iranien pour qu’il respecte les droits fondamentaux de ses citoyens.

Un groupe bipartisan du Congrès américain s’unit pour donner plus de pouvoir aux femmes iraniennes et condamner le régime misogyne

 Sheila Jackson Lee (D-TX) et Nancy Mace (R-SC), représentantes à la Chambre des représentants des États-Unis, ont dévoilé jeudi la création d’un groupe parlementaire bipartisan influent, composé de près de 20 législateurs, qui se consacrera exclusivement à la défense de la cause des femmes iraniennes. Baptisé « Iranian Women Congressional Caucus », ce groupe servira de plateforme aux membres du Congrès pour soulever les questions relatives à l’avancement de la liberté et de la démocratie des femmes en Iran. La première action décisive de la commission a été l’adoption à l’unanimité d’une résolution conjointe dénonçant l’attaque chimique contre des écolières iraniennes, la H. Res 310, condamnant le régime iranien et s’engageant à être solidaire des milliers de femmes et de jeunes filles qui organisent des manifestations pacifiques pour un Iran dénucléarisé, démocratique et laïque.

Sixième jour de grève des travailleurs du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, des centrales électriques, de la sidérurgie et du cuivre

 La grève s’étend à 106 ateliers et entreprises dans 37 villes de 13 provinces

Le mercredi 26 avril, la grève des travailleurs du projet dans les industries du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, des centrales électriques, de l’acier et des mines de cuivre est entrée dans son sixième jour. Le mouvement s’est étendu à 106 ateliers et entreprises industrielles dans 37 villes de 13 provinces d’Iran.

Iran : affrontement de jeunes Baloutches avec la police après le meurtre d’un jeune de 16 ans ; plusieurs blessés par balles

 Le mardi 25 avril, des jeunes de Fanouj, dans la province du Sistan-Baloutchistan, ont encerclé et caillassé un commissariat de police pour protester contre le meurtre d’un motocycliste de 16 ans et l’état grave de deux autres motocyclistes blessés après avoir été renversés par des agents répressifs. Les agents ont répondu en ouvrant le feu sur les manifestants en colère qui lançaient des slogans contre le pouvoir, faisant des blessés. Pour protester contre ces crimes, les jeunes de Fanouj ont bloqué plusieurs rues en allumant des feux.

Iran : des centres et panneaux répressifs du régime visés en soutien aux grévistes des industries pétrolière et gazière

 Iran : des centres et panneaux répressifs du régime visés en soutien aux grévistes des industries pétrolière et gazière, pétrochimique, minière, du cuivre et de l’acier

Le 23 avril, dans douze campagnes courageuses, des jeunes ont manifesté leur soutien aux travailleurs en grève dans les industries du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, des mines, du cuivre et de l’acier dans 27 villes de 11 provinces.

Les femmes exécutées en Iran en 2022

– L’Iran est le pays qui exécute le plus de femmes au monde : au moins 16 d’entre elles ont été exécutées en Iran en 2022. Selon Amnesty International, 24 femmes ont été exécutées dans le monde en 2022. Comme indiqué précédemment, les exécutions de femmes accusées d’infractions liées à la drogue ont complètement disparu après l’amendement de 2017 aux lois antidrogue jusqu’en 2021, date à laquelle cinq femmes ont été exécutées pour ces mêmes motifs, ce qui correspond à l’augmentation du nombre total d’exécutions pour infraction à la législation sur les stupéfiants. Au moins trois femmes ont été exécutées en 2022.

Une femme non identifiée exécutée avec des manifestants en janvier

 – Selon des informations récemment obtenues, une femme non identifiée a été exécutée pour meurtre avec les manifestants Mohammad Mehdi Karami et Seyed Mohammad Hosseini dans le pénitencier de Karaj, le 7 janvier 2023.

La femme non identifiée à l’heure où nous écrivons ces lignes. La justice des mollahs l’avait condamnée à une peine de qisas (châtiment en nature) pour meurtre.

LE PLAN EN 10 POINTS DE MARYAM RADJAVI POUR L’IRAN DE DEMAIN

 1-Non à la dictature religieuse. Oui à la souveraineté populaire dans une république pluraliste aux élections libres.

2-Liberté d’expression, liberté de partis, liberté de rassemblements, liberté de la presse et du cyberespace.
Dissolution des pasdarans, de la Force terroriste Qods, des agents de répression en civil, de la milice du Bassidj, du ministère du Renseignement, du Conseil de la révolution culturelle et de tous les organes et patrouilles de répression dans les villes, les villages, les établissements scolaires, les universités, les administrations et les usines.

Iran : De jeunes insurgés visent le centre de commandement des forces de sécurité à Mahabad en réponse à l’assassinat de porteurs kurdes

 Réagissant à l’assassinat de petits porteurs kurdes qui travaillaient dur, des jeunes de Mahabad ont visé le centre des forces de sécurité de la ville. De fortes détonations successives ont retenti dans tout le secteur.

Dans leur dernière atrocité, les agents frontaliers de Baneh ont écrasé sans pitié sous un véhicule Mohammad Latif Ahmadpour, un compatriote kurde. Il a succombé à ses blessures après quatre jours d’hospitalisation. Le gouverneur de Baneh a contacté sa famille pour la menacer d’enterrer son corps en secret en pleine nuit, sans avis public.

Cinquième jour de grève des travailleurs des industries pétrolières, gazières, pétrochimiques, électriques, sidérurgiques et des mines de cuivre

 Extension de la grève à 104 centres et entreprises industrielles dans 37 villes de 13 provinces

Le mardi 25 avril, au cinquième jour de la grève des travailleurs des industries du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, des centrales électriques, de l’acier et des mines de cuivre, les rangs des grévistes ont grossi et le mouvement s’est étendu à 104 centres et entreprises industrielles dans 37 villes de 13 provinces d’Iran.

Attaques chimiques organisées contre des écoles de filles à Téhéran, Kermanchah, Sanandaj, Hamedan et Karadj

 Khamenei et ses partisans criminels continuent d’empoisonner les écolières afin de contrer le soulèvement et de se venger des filles et des femmes à l’avant-garde des manifestations en 2022 et 2023. Les lundi 24 et mardi 25 avril, des écoles de Téhéran et d’ailleurs comme Kermanchah, Sanandaj, Hamedan et Karadj ont été la cible de l’empoisonnement d’un grand nombre d’élèves.

Les attaques chimiques organisées contre les étudiantes en Iran se multiplient

 Des dizaines d’étudiantes ont été empoisonnées lors des attaques chimiques organisées les 24 et 25 avril

Les 24 et 25 avril, plusieurs écoles de Téhéran et d’autres villes ont été le théâtre de l’empoisonnement d’autres écolières. Ces attaques chimiques organisées sont une tentative du régime, de Khamenei et du CGRI, de contrer le soulèvement et dans le but de se venger des filles et des femmes qui ont été à l’avant-garde des manifestations en 2022 et 2023.

Une Iranienne meurt à la suite d’une bagarre contre le port obligatoire du hijab

 – Une femme iranienne est décédée après une bagarre entre les forces de sécurité et un groupe de personnes opposées au port obligatoire du hijab dans la ville de Kerman, dans le sud du pays, ont rapporté les médias locaux.

La bagarre a éclaté dans un parc le 23 avril lorsque des membres de la force paramilitaire du Bassidj ont mis en garde les visiteurs contre les violations du hijab et que des personnes sont venues soutenir les femmes sans foulard, a rapporté le site d’information Rouydad24.

Les militantes kurdes des droits des femmes poussées à faire de faux aveux

 Les militantes kurdes des droits des femmes subissent des pressions de la part des services des renseignements de Sanandaj, la capitale de la province du Kurdistan.

Zhina Moddares Gorji, journaliste et militante des droits des femmes, et Fariba Zand Karimi, enseignante également militante des droits des femmes, sont détenues à l’isolement sous la double pression de faire de faux aveux contre elles-mêmes.

La prisonnière politique Massoumeh Senobari, inculpée en tant que leader de la contestation, est privée d’appels à sa famille

 La prisonnière politique Massoumeh Senobari, inculpée en tant que leader de la contestation, est privée d’appels à sa famille depuis près d’une semaine. La raison de ce refus n’est pas connue et la famille de cette prisonnière politique s’inquiète de son état.

La prisonnière politique Massoumeh Senobari a été arrêtée et détenue pendant le soulèvement iranien à Karaj et a été inculpée en tant que leader de la contestation.

Le groupe interparlementaire du Sénat italien publie une déclaration sur la conférence pour un Iran démocratique

 La Commission interparlementaire pour un Iran libre en Italie a publié une déclaration le 12 avril à propos d’une conférence qui s’est tenue le même jour au Sénat italien, intitulée « La feuille de route vers un Iran démocratique ». La conférence s’est tenue dans la salle de conférence de presse du Parlement italien, sous la présidence de la députée Elisabetta Gardini. De nombreux députés et sénateurs ont assisté à la conférence et ont exprimé leur soutien à la lutte du peuple iranien pour une république laïque et démocratique et au plan en dix points de la présidente élue de l’opposition iranienne, Mme Maryam Radjavi.

Les forces armées iraniennes et le CGRI : phares de l’espoir ou menaces mondiales ?

 Le 18 avril, le président du régime iranien, Ebrahim Raïssi, a pris la parole lors d’un défilé militaire lors de la soi-disant «Journée de l’armée». Dans sa litanie de mensonges, Raïssi a fait l’éloge des forces armées du régime, qui sont notoires au niveau national pour leurs activités terroristes. Qu’il s’agisse de la répression de la population civile et des manifestations, de l’arrestation de opposants, de leur torture ou de leur exécution, de l’envoi de forces dans des pays étrangers et de la gestion de réseaux de milices extrémistes à travers le Moyen-Orient, le régime clérical utilise tous ceux qui servent son drapeau.

Iran – Quatrième jour de grève des travailleurs du pétrole

 Quatrième jour de grève des travailleurs du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, des centrales électriques, de la sidérurgie et des mines de cuivre

Extension de la grève à 97 centres et entreprises industrielles dans 32 villes de 12 provinces

Lundi 24 avril, la grève des travailleurs des chantiers du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, des centrales électriques, de la sidérurgie et des mines de cuivre, qui a débuté le vendredi 21 avril, est entrée dans son quatrième jour et s’est étendue à 97 centres et entreprises industrielles dans 32 villes de 12 provinces. Les travailleurs défavorisés de ces secteurs industriels, principalement sous le contrôle des gardiens de la révolution et de la mafia affiliée à Khamenei, ont cessé de travailler pour protester contre les bas salaires, le non-paiement des salaires et des avantages sociaux, les conditions de travail exténuantes et le manque d’attention à leurs demandes.

Iran : Dans le Mazandaran, de jeunes insurgés visent le système judiciaire

 Iran : Dans le Mazandaran, de jeunes insurgés visent le système judiciaire en réponse à l’attaque du village de Danial par les forces du régime

Dans la nuit du samedi 22 avril, en réponse à l’attaque des forces du régime contre le village de Danial à Motel Qu le 15 avril, qui a fait deux morts et cinq blessés parmi les paysans opprimés, de jeunes insurgés ont visé le système judiciaire à Abbas Abad, dans la province de Mazandaran. Plusieurs fortes explosions ont retenti dans tout le secteur.

Iran : projection du portrait du dirigeant de la Résistance à Yazd

 Des unités de résistance ont utilisé des projecteurs extérieurs dans la rue Javad Al-Aemmeh à Yazd pour afficher un portrait de M. Massoud Radjavi sur le mur d’un bâtiment avec le slogan « vive Radjavi« .

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 24 avril 2023

Nouvelles attaques chimiques dans des écoles : Des enseignants transportés à l’hôpital

– Un nombre indéterminé d’élèves et d’enseignants iraniens ont été emmenés dans des centres médicaux pour y être soignés le 24 avril, après que plusieurs écoles de filles ont été la cible d’attaques chimiques.

Les attaques chimiques ont été signalées dans au moins trois provinces : Kurdistan, Hamadan et Alborz.

Iran : Les forces de sécurité tuent, torturent et maltraitent des enfants

 Human Rights Watch – Les forces de sécurité iraniennes qui répriment les manifestations de grande ampleur ont tué, torturé, agressé sexuellement et fait disparaître des enfants dans le cadre d’un ensemble de violations graves, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.