Trois ouvriers qui étaient revenus dans leur usine Pars Khodro de construction automobile en Iran pour savoir où en était leur dossier après leur licenciement, ont été arrêtés le 8 novembre dans l'enceinte de l'entreprise.
Ils avaient été licenciés à la suite de manifestations salariales il y a deux ans. Ils avaient demandé à être réintégrés et venaient se renseigner. Les autorités ont réclamé une caution faramineuse que les familles sont incapables de verser. Ils restent donc en prison sans la moindre raison.
Il s'agit de Davoud Rafii pour lequel une caution de 50 millions de tomans a été fixée et pour les deux autres ouvriers, la caution se monte à 30 millions.
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