mercredi 21 octobre 2020

Le 17 octobre, la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté


 CSDHI – Les niveaux de corruption, de détournement de fonds et de mauvaise gestion économique sont horribles. La population a souffert de l’inflation galopante, de l’augmentation du coût des marchandises, etc. De plus en plus de gens tombent dans la pauvreté absolue.

 Le 17 octobre est la Journée mondiale pour l’élimination de la pauvreté

Malheureusement, la politique économique des mollahs et leur capacité à piller les richesses de la nation pour les utiliser à leurs propres fins, a précipité les Iraniens dans la pauvreté.

Et il y a peu de chances que les mollahs changent leur « politique ». L’Iran est un pays où 80 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. L’adoption par l’Assemblée générale des Nations unies d’une résolution désignant le 17 octobre comme « Journée mondiale pour l’élimination de la pauvreté » n’aidera pas les Iraniens sous le régime actuel.

C’est en 1993 que les Nations unies ont adopté pour la dernière fois une telle politique. D’ailleurs, certains citoyens du monde en ont bénéficié, notamment ceux qui vivent dans les pays suivants : au Tadjikistan, en Indonésie, en Tanzanie.

80% des Iraniens vivent sous le seuil de pauvreté

L’inverse a eu lieu en Iran où la pauvreté a augmenté depuis 1993. Avec 80 % de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté, les statistiques suivantes sont désastreuses :

  • 13 suicides par jour, dont 70 % sont dus à la pauvreté ;
  • 14 millions de toxicomanes ;
  • 3 millions de femmes chefs de famille ;
  • 38 millions de personnes vivant dans des bidonvilles ;
  • 7 millions d’enfants qui travaillent

Une nourriture trop chère à l’achat

Il y a beaucoup de richesses en Iran, mais elles ne sont pas partagées avec ses citoyens. Les mollahs les dépensent pour le terrorisme à l’étranger et la production ou l’importation d’armes de destruction massive. La population n’est pas aidée pour l’achat de produits alimentaires, même de base.

Les mollahs disent toujours que les sanctions causent des problèmes économiques dans le pays. Mais c’est absolument faux car les responsables du régime iranien, dont le Guide suprême Ali Khamenei et le président Hassan Rouhani, semblent s’enrichir. En plus, ils investissent des milliards de dollars de la richesse créée par le peuple iranien dans des armes de destruction massive et le terrorisme dans toute la région.

Comment résoudre le problème de la pauvreté en Iran

Face à cette situation catastrophique, le peuple iranien n’a d’autre choix que de protester. Les unités de résistance du MEK/OMPI mobilisent les gens pour rétablir leurs droits.

L’année dernière, les réseaux de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK Iran) à l’intérieur de l’Iran ont couvert quotidiennement les informations des manifestations. Le MEK/OMPI a rapporté qu’en un mois seulement, il y avait eu plus de 300 manifestations dans différentes villes d’Iran. Ce qui fait dix manifestations par jour. Les unités de résistance du MEK/OMPI ont joué un rôle clé pour former et diriger ces protestations croissantes.

L’Iran a besoin d’une démocratie et de libertés

Le changement de régime est la seule solution viable qui reste pour aider à résoudre la crise économique de l’Iran et éliminer définitivement la pauvreté de la vie des gens. A sa place, il faut instaurer la liberté et la démocratie. Ainsi, le peuple pourar participer à l’économie du pays et décider où vont les richesses.

Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a déclaré : « Toutes les promesses des mollahs au peuple iranien démuni et frappé par la calamité sont creuses et sans valeur. La seule façon de mettre fin à la pauvreté, à la misère et au chômage est de mettre fin à la dictature maléfique des mollahs et d’établir la liberté et la souveraineté du peuple. »

Source : Stop au Fondamentalisme

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