Son procès a eu lieu au tribunal pénal de Khorasan Razavi. Hassan fut condamné au fouet (99 coups), à cinq ans de prison, au paiement d’amendes aux plaignants et à une exécution publique.
Le régime iranien est l’un des rares États à utiliser encore des châtiments dégradants. Pourtant, toutes les conventions internationales relatives aux droits civils et politiques ont interdit le recours à des châtiments inhumains tels que l’exécution et la flagellation.
Plus de 100 « délits » sont passibles de coups de fouet en vertu de la loi iranienne. Ces délits comprennent le vol, les agressions, le vandalisme, la diffamation et la fraude. Elles couvrent également des actes qui ne devraient pas être criminalisés. Par exemple, l’adultère, les relations intimes entre hommes et femmes non mariés, l' »atteinte aux bonnes mœurs ». Et enfin, les relations sexuelles consenties entre personnes du même sexe.
Source : Iran News Wire
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