Les participants au sommet ont souligné que le CNRI et sa principale composante, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK), sont dans une position unique pour défier le régime iranien en raison de leur capacité organisationnelle tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Iran.
L’ancien vice-président américain Mike Pence a souligné la force du mouvement de résistance iranien : « Grâce à vous tous, le vent du changement souffle en Iran plus fort que jamais. » Il a salué la volonté du CNRI de diriger : « Je veux que le monde entier comprenne que l’OMPI et le CNRI partagent les mêmes valeurs qui sont chères aux nations démocratiques. »
Pence a souligné le plan en dix points de Mme Radjavi pour l’avenir de l’Iran, qu’il a décrit comme étendant « l’égalité politique, sociale et économique aux femmes » et garantissant « la liberté d’expression, la liberté de réunion et garantissant le droit de chaque personne » de vivre, de travailler, de pratiquer leur culte, selon les préceptes de leur conscience, en toute liberté.
L’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo a fait écho à ce sentiment : « L’OMPI apporte une solution à tant de problèmes, non seulement pour l’Iran mais aussi pour l’ensemble du Moyen-Orient. Il existe une alternative. » Il a salué le programme de l’organisation comme étant « fondé sur cette vérité évidente sur laquelle est fondée la démocratie américaine ».
L’ancien Premier ministre canadien Stephen Harper a souligné la capacité du CNRI en tant qu’alternative : « L’alternative au régime n’est pas le chaos, mais bien l’opposition bien organisée et démocratique de l’Iran. » Il a décrit le CNRI comme ayant « une organisation de longue date et des racines sociales profondes » avec « un réseau actif à l’intérieur et à l’extérieur de l’Iran et un leadership compétent ».
Harper a souligné l’engagement du CNRI envers les principes démocratiques, affirmant que ses plans sont basés sur « un engagement en faveur d’élections libres, le rejet des formes présentes et passées de dictature, la liberté de réunion et d’expression, le pluralisme et l’État de droit, les droits de l’homme et l’égalité des genres, la séparation de la religion et de l’État, l’acceptation de la diversité religieuse et ethnique de l’Iran et, plus important encore, pour la communauté internationale, un État non nucléaire en paix avec le monde.
L’ancien président de la Chambre des communes du Royaume-Uni, John Bercow, a salué le plan en dix points du CNRI comme « l’une des déclarations les plus éloquentes et les plus complètes d’une alternative que tout démocrate puisse souhaiter voir ». Il a souligné l’accent mis sur « la souveraineté du peuple, le droit du peuple de choisir son parlement et de choisir ses dirigeants ».
Les intervenants ont également souligné le rôle crucial des unités de résistance de l’OMPI en Iran. Pence a noté que « la persécution et le meurtre de membres des unités de résistance à travers l’Iran ont fortement renforcé ce mouvement en termes de nombre, de capacités, de détermination et d’inspiration dans le monde libre ».
Pompeo a salué le courage des membres de l’OMPI : « Je compte sur les hommes et les femmes courageux. Les hommes et les femmes courageux, que j’ai eu la chance de rencontrer pour certains, sont devenus un cauchemar pour le régime. Ils forceront le changement.
Harper a noté : « C’est une organisation dotée d’une organisation de longue date et de profondes racines sociales. Elle dispose d’un réseau actif à l’intérieur et à l’extérieur de l’Iran et d’un leadership compétent.
L’ancienne Première ministre britannique Liz Truss a souligné l’importance de soutenir la résistance iranienne, déclarant : « Nous ne devrions jamais abandonner l’idée d’un Iran libre et démocratique ». Elle a appelé à une pression accrue sur le régime et à un soutien à ceux qui recherchent le changement : « Nous devons intensifier nos efforts pour mettre fin au financement du régime iranien et augmenter les sanctions contre le régime ».
La baronne O’Loan de la Chambre des Lords britannique a souligné la légitimité du CNRI, déclarant : « Les attaques incessantes du régime contre Maryam et contre le NCIR, les campagnes de diffamation, les complots terroristes et les tribunaux fantoches à Téhéran ne servent qu’à valider l’efficacité et la légitimité du CNRI.
L’ancienne sénatrice colombienne Ingrid Betancourt a déclaré : « En France, rien qu’en France, la majorité du Congrès a signé une pétition soutenant le plan en dix points de Maryam Radjavi. La même chose s’est produite aux États-Unis. Plus de 230 membres bipartites du Congrès américain. Plus de 500 membres de tous les partis au Parlement britannique et de nombreux lauréats du prix Nobel.
Les intervenants du Sommet mondial pour un Iran libre 2024 ont présenté un front uni dans leur soutien au CNRI comme étant le moyen le plus viable.
Source : NCRI
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