Le 14 septembre, le régime des mollahs a exécuté un homme dans la prison centrale de Racht dans le nord de l'Iran.
Tout un aéropage de voyeurs bien sanguinaires dans les personnes du procureur, juge, directeur de prison et gardiens, qui méritent tous de passer devant une cour internationale de justice pour crime contre l'humanité, ont assisté la pendaison d'un homme dont l'identité n'a pas été révélée.
En Iran, un maximum est fait pour ôter toute humanité aux condamnés, jusqu'à leur identité. De nombreuses exécutions clandestines ont également lieu. Certaines sont révélées par le réseau des familles de victimes et les associations de droits humains en Iran. Beaucoup d'autres restent totalement inconnues. Récemment, on a découvert l'exécution de Kamran Maleki, 34 ans, à la prison de Saghez le 6 juillet.
Cela porte à 58 les exécutions en juillet, 86 en aout et 17 en septembre en Iran.
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