Le 10 septembre le régime iranien a repris ses exécutions collectives sans pour autant abandonner les pendaisons à l'unité.
Dans la ville portuaire de Bandar-Abbas, les autorités ont pendu sept marins qui avaient eu le tort de se trouver sur le chemin des gardiens de la révolution. Aussitôt accusés de trafic de drogue alors qu'il s'agissait de pecheurs, ils ont été arrêtés et condamnés à mort.
Les familles ont crié en vain à leur innocence et dénoncent un procès "injuste".
Il s'agit de Ghasem Daryanavard, Amine Bibak, Khosro Badpa, Sattar Hout, Mohammad Hanif Boup, Haroun Haykal Nejad et Taregh Taraj.
Le nombre d'exécutions au mois de septembre se monte déjà à 13. Il était de 86 au mois d'aout.
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