Jeudi 22 septembre, coïncidant avec le début de l'année scolaire, le régime des mollahs a pendu un détenu dans le stade de sport Neyriz dans la province de Fars (sud de l'Iran). Ceci est une nouvelle étape dans la cruauté du fascisme religieux au pouvoir en Iran qui a même transformé les stades de sport en champs d'exécution. La Résistance iranienne appelle tous les athlètes en Iran et les organisations sportives à condamner ce comportement inhumain.
Dans le même temps, 13 prisonniers dans la prison de Gohardacht ont été déplacés en isolement pour la mise en œuvre de leur peine de mort. Certains des condamnés sont en attente de leur exécution depuis plus de 13 ans.
La Résistance iranienne appelle les organisations internationales des droits de l'Homme, en particulier le Commissaire aux droits de l'Homme des Nations Unies, le Rapporteur spécial sur la situation des droits de l'Homme en Iran et le groupe de travail sur les exécutions arbitraires à prendre des mesures immédiates pour sauver ces prisonniers.
Les exécutions collectives et arbitraires sont une partie centrale de la stratégie d'un régime qui fait face au rejet de la grande majorité de la société iranienne. Le silence sur les atrocités d'un tel régime est contraire avec les valeurs et les principes des droits de l'Homme universels. Les relations économiques et politiques avec ce régime doivent faire l'objet d'un moratoire sur les exécutions.
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