samedi 10 septembre 2016

Maryam Radjavi : le transfert réussi des moudjahidine de liberty est une grande défaite pour le régime des mollahs en Iran

 Maryam Radjavi : Le transfert réussi des Moudjahidine de Liberty est une grande défaite pour le régime des mollahs en Iran
Hier et avant-hier, les derniers groupes d’Achrafiens sont arrivés en Albanie. Le processus de transfert de Liberty hors d’Irak, s’est déroulé avec un succès total.
Le samedi 10 septembre 2016, au bureau du Conseil national de la Résistance iranienne à Auvers-sur-Oise, de nombreux Iraniens ont célébré le succès de la réinstallation des résidents du camp Liberty qui ont quitté l'Irak pour rejoindre l'Europe. 
 Lors de cette cérémonie en présence de personnalités françaises, européennes et arabes, la présidente élue de la Résistance iranienne, Maryam Radjavi a qualifié ce développement comme un revers stratégique pour le régime des mollahs, ajoutant qu'il est un signe vers une ère de progrès pour la Résistance iranienne. Voici l'intégralité de son intervention.
Iraniennes, Iraniens,
Défenseurs d’Achraf à travers le monde,
Soutiens honorables de la Résistance,
Toutes mes félicitations pour le transfert victorieux en toute sécurité de l’ensemble des Achrafiens, membres des Moudjahidine du peuple d’Iran (l’OMPI), qui étaient à Liberty.
Enfin, les campagnes politiques et internationales sans répit pour la sécurité des Achrafiens et leur transfert collectif et organisationnel ont porté leurs fruits. Et toutes les manœuvres et les plans élaborés pour éliminer l’OMPI et la démanteler ont été déjoués. Le régime du guide suprême, son ministère du Renseignement et la force terroriste Qods, ainsi que l’ensemble de ses mercenaires de toute sorte en Irak, assoiffés du sang des Moudjahidine du peuple, ont mordu la poussière.
Mesdames et Messieurs,
Hier et avant-hier, les derniers groupes d’Achrafiens sont arrivés en Albanie. Le processus de transfert de Liberty hors d’Irak, vers des pays européens comme l’Allemagne, l’Angleterre, la Hollande, la Norvège, la Finlande, le Danemark, la Belgique, l’Italie, l’Espagne, ainsi que le Canada, s’est déroulé avec un succès total.
Le mouvement de la liberté du peuple d’Iran vient de franchir un pas majeur qui lui donne une grande longueur d’avance sur la dictature en place. Le plan du régime du guide suprême pour sortir de la crise du renversement dont l’élimination physique de l’OMPI et de l’alternative démocratique était la condition nécessaire, disparait en fumée.
Quatorze années de bombardement, de désarmement, de résidence surveillée, de blocus, de coups de matraques et de haches, d’attaques de blindés et à la roquette avec la torture psychologique via 320 haut-parleurs, n’y ont rien fait. Tout comme l’utilisation des ressources de 12 gouvernements et les événements du 17 juin 2003 ici à Auvers, l’étiquette de terrorisme, le montage de faux dossiers judicaires et plus d’une vingtaine de procès, que nous avons tous remportés.
En 2003, Khatami et Kharrazi avaient dit que Jack Straw avait jugé « acceptable » de pendre une vingtaine des 65 dirigeants et responsables de l’OMPI qui étaient censés être livrés au régime iranien après l’occupation d’Achraf.
A cette époque, les autorités américaines, à des niveaux divers, parlaient de l’élimination douce ou de la désintégration soft de l’OMPI et de leur intention de dissoudre l’organisation.
Le directeur de cabinet de Colin Powell, le secrétaire américain à la Défense de l’époque, a déclaré par la suite : « Chaque matin, du lundi au vendredi, nous avions normalement une réunion vers 8.30 au ministère. Et l’une des questions qui revenait quasiment tous les jours était que se passe-t-il avec l’OMPI ? L’OMPI court toujours en Irak, elle a encore ses armes, elle forme encore un groupe uni, que se passe-t-il ? Nous l’avons déclaré comme un groupe terroriste »
Oui, à cette époque, Khatami demandait l’extradition de l’OMPI. L’extradition des Moudjahidine d’Achraf et la déportation des personnes arrêtées le 17 juin 2003 à Auvers. Ensuite Khamenei a ouvertement donné des instructions à son homme de paille, Maliki, alors premier ministre irakien, devant les caméras de la télévision du régime pour détruire l’OMPI et mettre en œuvre le traité mutuel passé dans ce domaine. Cela a été suivi entre autres par une pléthore d’attaques, de dossiers judiciaires fabriqués, de diabolisation, de blocus et de campagne de calomnies, tout ce que nul n’ignore.
Je voudrais rappeler ici la mémoire de feu Lord Slynn, qui se trouvait à Achraf pour le Nouvel An 2004. Il avait accepté ma demande de se rendre à Achraf dans les circonstances prévalant à cette époque. Quelque temps après, pour reprendre l’expression des médias, une armée d’avocats et de juristes se sont engagés dans cette campagne et beaucoup sont allés à Achraf.
De toute évidence, un régime qui n’a pas hésité à massacrer nos prisonniers aux mains menottées, n’allait pas rater l’occasion de l’occupation de l’Irak pour éliminer l’OMPI qui, selon les mots de Khamenei, persévère sur ses positions. Il voulait à tout prix exploiter cette situation. C’est l’objet de notre face à face avec le régime iranien durant quatorze années en Irak.
C’était une bataille à la vie à la mort, une bataille entre la liberté et la tyrannie, dans l’œil du cyclone et dans les crises. Dès le premier jour nous avions dit au gouvernement américain que s’il ne voulait pas nous voir rester en Irak, il pouvait à nos propres frais transférer l’ensemble hors d’Irak. C’est là l’essentiel de 15 heures de discussion durant deux jour de Mojgan Parsaï, alors secrétaire générale de l’OMPI, avec le général Odierno et son état-major les 9 et 10 mai 2003, dont les deux parties disposent du procès-verbal.
A présent, si on veut passer en revue cette période de 14 années, avec tous ses martyrs, ses blessés et ses mutilés, avec ses amis et ses soutiens, alors on peut dire clairement que ce transfert qui s’est achevé hier, marque une défaite stratégique pour le régime. C’est aussi le début de l’avancée de la résistance pour la liberté et la démocratie en Iran, qui annonce l’ère du changement.
Félicitations au peuple iranien,
Félicitations à la grande famille de la résistance iranienne !
Et bien sûr il faut d’abord féliciter Massoud Radjavi, le dirigeant de la résistance iranienne, qui a conduit cette campagne de 14 années, nuit et jour, 24h/24 dans des circonstances les plus complexes, au cœur des tempêtes et des crises, acceptant le plus haut degré de risque. C’est de cette façon que les membres de l’OMPI ont tenu bon durant toutes ces années avec un maximum de sacrifices et de vigilance et ont amené le monde à s’opposer à la sauvagerie et aux attaques du régime du guide suprême. A présent on peut sans hésiter citer le Coran pour dire : « En vérité, Nous avons accordé une victoire claire et nette.»
Les Moudjahidine d’Achraf et de Liberty, dans leurs réunions générales et leurs dialogues avec Massoud Radjavi, se référaient à un exemple historique, l’exemple de l’Imam Hussein (3e Imam chiite), le soir de la bataille de l’Achoura (dans laquelle l’Imam Hussein est tombé martyr). Ils disaient : aurait-il été possible que les tyrans de l’époque Chemr et Yazid (parlant de Maliki et de Khamenei) ouvrent un passage au camp de Hossein et les laissent partir sains et saufs ? Bien sûr que non ! Cela voulait dire que tant que Maliki était au pouvoir en Irak, cette éventualité semblait aussi impossible qu’inimaginable.
Mais pourtant aujourd’hui, cet ‘impossible’ est devenu possible avec la campagne sans répit des soutiens d’Achraf et de la Résistance iranienne à travers le monde. Le camp de l’OMPI a triomphé du camp du régime du guide suprême.
Dans la déclaration du Conseil national de la Résistance iranienne pour le 35e anniversaire de sa fondation, on peut lire avec raison que « Khamenei imaginait qu’en profitant de « l’occasion » que présentait l’Irak et en utilisant son homme de paille Nouri Maliki, il pourrait anéantir les Achrafiens et qu’en même temps, en s’appuyant sur la quête de l’arme atomique, il pourrait restaurer et augmenter son autorité. »
Le fait est que le succès total de l’OMPI dans ce transfert, est le plus grand signe de la faiblesse du régime et des effets du poison de l’accord nucléaire.
 Chers amis,
Tout le monde sait qu’après le départ d’Achraf et le retrait de la liste du terrorisme, le camp Liberty devait être un Lieu de transit temporaire (LTT). C’était le nom officiel et légal de Liberty. Ce devait être uniquement un point de transit pour quelques semaines ou tout au plus quelques mois. Mais cela a pris cinq ans.
On peut dès lors comprendre l’ampleur du chantage et des menaces terroristes du régime iranien dans ce domaine tout autant que l’ampleur des dessous-de-table et des investissements faits par le régime du guide suprême.
Il y a quelques mois, ici même, M. Winer à qui j’ai expliqué le sabotage et le travail de sape du régime, a dit s’être rendu en tant que conseiller spécial du département d’Etat américain désigné par John Kerry, dans 75 pays pour superviser le transfert des Moudjahidine de Liberty, sur la base de l’engagement précédent des USA. Il a confié avoir été surpris par l’ampleur de l’opposition et des obstructions auxquelles il a été confronté.
En réalité, toutes nos tentatives pour accélérer le transfert, se sont heurtées au travail de sape permanent du régime des mollahs. Par exemple en janvier 2013, Zarif, le ministre des affaires étrangères des mollahs, s’est rendu en Jordanie pour son premier déplacement dans les pays arabes. Son but principal était de faire capoter un accueil éventuel par le gouvernement jordanien de membres de l’OMPI dans ce pays.
Cette année-là, après l’accord obtenu auprès du gouvernement roumain pour le transfert d’un groupe d’Achrafiens dans ce pays, le régime des mollahs est intervenu et le gouvernement roumain a annulé sa décision.
En Suisse, alors que des arrangements avaient été fait pour le transfert de certains blessés du camp Liberty, jusqu’au versement de l’argent aux hôpitaux pour les soins, à nouveau le régime des mollahs est intervenu pour le faire annuler.
En Italie, une résolution a été adoptée à la commission des Affaires étrangères de la Chambre des députés pour l’accueil d’Achrafiens. Mais après l’arrivée d’un groupe de l’OMPI, les mollahs ont là aussi sabordé la venue des autres.
En toute apparence, le régime exigeait l’expulsion d’Irak de l’OMPI et son éloignement des frontières de l’Iran. Mais comme n’a cessé de le rappeler la Résistance iranienne, et comme je l’ai répété lors du rassemblement annuel de la résistance l’an dernier : ce que voulaient vraiment les mollahs pour les Achrafiens c’était soit les anéantir, soit leur capitulation. Les mandats d’arrêt factices délivrés par l’appareil judiciaire en Irak, les plans pour leur déportation et les notices rouges fournies à Interpol contre les Moudjahidine du peuple, servaient à préparer le terrain à cet objectif.
 Les déplacements successifs des ministres et des responsables de la sécurité du régime en Irak, comme le voyage de Pour-Mohammadi, ministre de la Justice de Rohani, en mars 2014, a eu lieu pour cette raison. Puis le déplacement de Sadegh Laridjani, le chef du système judiciaire, en mai et octobre 2014 à Bagdad, et le porte-parole du ministère des Affaires étrangères demandait officiellement, l’expulsion d’Irak de l’OMPI.
Par ailleurs, il me suffit de rappeler que depuis le transfert de la protection d’Achraf au gouvernement de Maliki, c’est-à-dire placer Achraf dans la gueule du loup, l’engagement des Etats-Unis à protéger les Achrafiens en Irak, a fait l’objet de 52 discussions et sujet de débat au Sénat et à la Chambre des Représentants américains. Quelque 20 résolutions et amendements ont été adoptés à la Chambre des représentants ont contraint Washington à respecter son engagement en matière de protection et de transfert des Achrafiens. Il m’est impossible d’énumérer ici toutes les initiatives entreprises en Europe et dans les pays arabes, et même en Irak à ce sujet.
Je serais vraiment bien en peine de raconter et décrire la campagne menée durant 14 ans par le Dr Alejo Vidal-Quadras tant dans sa fonction de Vice-président du Parlement européen que dans sa qualité de président du Comité international pour l’application de la Justice qui fédère le soutien de 4000 parlementaires, et le combat permanent mené par ses collègues comme Struan Stevenson et Paulo Casaca. Il en va de même pour les efforts déployés par le Premier ministre algérien Sid Ahmed Ghozali à la tête du comité arabo-musulman en défense d’Achraf et des habitants du camp Liberty. Je ne trouve pas non plus les mots pour remercier Mme Rita Sussmuth pour ses efforts sans relâche et d’une immense sincérité, ceux de Mme Betancourt, Mme Boumediene, mon frère Taher Boumedra, ou Jean-Pierre Béquet, Mgr Jacques Gaillot, Cheikh Meskine, Jean-Pierre Muller, Pierre Bercis et tant d’autres personnalités éminentes. Je peux simplement leur dire qu’ils ont sauvé des vies de résistants iraniens.
Je voudrais aussi mettre en avant le soutien des maires en Europe, en particulier celui des 14.000 maires et élus de France, et des dirigeants honorables des communautés musulmanes de ce pays. Des frères qui avant toute chose luttent avec nous pour laver la tache de terrorisme et d’intégrisme typique du régime du guide suprême et de Daech qui salit l’image de l’islam, religion de clémence et d’émancipation.
Je ne peux pas citer la liste très longues de toutes celles et de tous ceux qui ont forgé cette victoire, des parlementaires de Grande-Bretagne jusqu’à l’Australie, de l’Islande jusqu’au Canada, de l’Inde jusqu’en Egypte. Je ne peux pas non plus décrire les millions d’heures de travails et d’efforts en soutien aux Achrafiens. Je peux juste dire que nous n’avions ni pétrole, ni navires de guerre. Mais une force plus puissante est venue à notre aide, celle des consciences et de l’honneur. Tous ces amis sont les membres d’honneur de cette Résistance, ils incarnent cette force morale et cette conscience de l’humanité contemporaine.
Pour parler de la valeur de cette solidarité humaine, permettez-moi de vous expliquer brièvement ma propre situation et ce qui s’est passé ces derniers jours et derniers mois. Les moments d’inquiétude, d’angoisse et d’espoir face aux obstacles et aux difficultés créés par l’ennemi.
Quand ils empêchaient le départ de certains et que d’autres devaient revenir de l’aéroport. Des harcèlements au moment de la sortie de Liberty et des obstacles pour les empêcher d’emmener leurs affaires personnelles et même des fauteuils roulants des blessés. Quand le reste des Moudjahidine du peuple protestant contre ces mesures arrêtaient tout le processus, surtout lorsque l’un d’entre eux était empêché de partir d’Irak, tous les autres ne voulaient plus prendre l’avion.
Quand j’apprenais la nouvelle sur une attaque imminente contre les colonnes des Achrafiens sur la route de Liberty à l’aéroport, jusqu’au moment où arrivait la nouvelle de préparation d’une attaque à la roquette ou terrestre sur Liberty, alors que tout le monde empaquetait les affaires et s’apprêtait à partir. Tout comme lorsque je recevais les nouvelles sur de probables attaques contre les charters transportant les Achrafiens et des dizaines et des centaines d’autres moments difficiles de ce genre.
Chacun de ces moments nécessitait une réaction rapide avec une vaste campagne pour empêcher ces grands dangers et ces catastrophes d’arriver.
A cette occasion, je voudrais, au nom de la résistance du peuple iranien remercier très sincèrement le Premier ministre et le gouvernement Albanais, la chancelière allemande et tous ceux qui en Albanie, en Irak, aux Etats-Unis, en Europe et au HCR nous ont aidé dans ce transfert à hauts risques.
J’adresse mes salutations les plus cordiales aux sympathisants de l’OMPI à l’intérieur de l’Iran qui ont protesté en faveur d’Achraf et Liberty et ceux et celles qui pour cette raison ont été condamnés à des années de prison.
Je salue les partisans d’Achraf qui aux quatre coins de la planète, sur de très longues périodes sans précédent à nos jours, ont mené des sit-in et des grèves de la faim.
Et mes remerciements infinis à Dieu Tout-Puissant, qui au cœur des crises les plus terribles du Moyen-Orient, a préservé le verre de la pluie de pierres, pour sauvegarder le capital moral, militant et stratégique du peuple d’Iran.
En 14 années, les Moudjahidine du peuple, avec leur persévérance en plein blocus cruel, ont maintenu vivace la flamme de la lutte pour la liberté et maintenu hissé le drapeau du renversement du régime du guide suprême.
Stewart Holliday, ancien ambassadeur américain à l’ONU, a déclaré une fois que « c’est vraiment le grand combat de notre époque. Ce qui arrive à l’OMPI et la façon dont ces problèmes sont résolus, et la manière dont l’avenir de l’Iran est déterminé, est vraiment un tournant du 21e siècle. » Je pense qu’il est absolument dans le vrai et l’avenir le prouvera.
Permettez-moi ici en particulier de rendre hommage au rôle de ma sœur Mojgan Parsaï, vice-dirigeante de la résistance à Achraf et Liberty, de ma sœur Zohreh Akhiani secrétaire générale de l’OMPI et des précédentes secrétaires générales de l’OMPI, mes sœurs Sedigheh Hosseini et Fahimeh Arvani pour leurs efforts. Avec les six vice-secrétaires générales de l’OMPI et leurs frères héroïques comme Mehdi Baraï, Abbas Davari, Mahmoud Attaï et Mohammad Hayati, ils ont tous œuvré à écrire l’impressionnante histoire des 14 dernières années de l’OMPI.
Chers Amis,
Un nouveau chapitre vient de s’ouvrir avec pour mot d’ordre l’avancée générale vers le renversement du régime du guide suprême.
Ce n’est pas un hasard si justement hier le mollah Ahmad Jannati, président de l’Assemblée des Experts et du Conseil des gardiens du régime a levé le voile en disant : « Si on avait voulu laisser davantage de champ libre aux Moudjahidine du peuple et ne pas les massacrer, ils auraient déraciné le régime. » Ainsi donc ce qui était en jeu ce n’était pas l’islam, ni le Coran, mais comme Khomeiny l’a dit lui-même, il s’agissait de préserver son pouvoir et son régime par tous les moyens, c’était la priorité absolue. Et c’est ainsi que ce démagogue inhumain a perpétré le plus grand massacre de l’histoire contemporaine de l’Iran.
Mais permettez-moi de dire clairement à Khamenei, à son président de l’Assemblée des experts et du Conseil des gardiens, et à tout le régime que le Conseil national de la Résistance iranienne et l’OMPI sont à présent cent fois plus forts et plus riches d’expérience pour avancer.
Et pour finir, je m’adresse à la jeunesse et aux partisans d’Achraf en Iran : faite retentir le tocsin et appelez à un changement, à une ère de progrès et d’avancée. Le message est de bâtir 1000 Achraf. Je répète : mille Achraf, c’est la feuille de route de la liberté, c’est la force de l’insurrection générale et c’est le coup de masse qui va s’abattre sur la théocratie au pouvoir.
Il ne fait aucun doute que le mouvement pour la justice en faveur des victimes du massacre de 1988, et les autres mouvements qui vont faire trembler le régime vont surgir les uns après les autres sur ce chemin et 1000 Achraf surgiront avec 1000 nouveaux fronts contre le régime du guide suprême.
Vive la liberté !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire