C'est la rentrée scolaire en Iran, or beaucoup de bancs et de chaises seront vides dans les écoles. La grande pauvreté et la répression qui accablent la population poussent les enfants dans la rue ou les familles à les faire travailler, simple question de survie.
La province de Kermanchah, dans l'ouest de l'Iran compte à elle seule 700 enfants de rue ou mis de force au travail.
Le directeur des affaires sociales de la province qui a fait cette annonce, a tenu à préciser que sur ce nombre, seuls 300 enfants avaient été identifiés. Vu l'habitude de la dictature religieuse de minimiser les malheurs qu'elle engendre, il est certain qu'il sont beaucoup plus. Le fait est que ce responsable s'est empressé d'ajouter que "le nombre d'enfants qui travaillent n'est pas précis".
Le directeur des affaires sociales de la province qui a fait cette annonce, a tenu à préciser que sur ce nombre, seuls 300 enfants avaient été identifiés. Vu l'habitude de la dictature religieuse de minimiser les malheurs qu'elle engendre, il est certain qu'il sont beaucoup plus. Le fait est que ce responsable s'est empressé d'ajouter que "le nombre d'enfants qui travaillent n'est pas précis".
Ce qu'il n'a pas dit, c'est qu'une association municipale de pères fouettards harcèlent ces enfants, en leur rasant la tête quand elle les attrapent, ou en les humiliant pour les dissuader de mendier ou de travailler dans les rues. Un journal local, Bakhtar-nama, a fait un petit reportage sur le sujet et indique que l'on soupçonne cette association d'emprisonner plusieurs jours les enfants dans ses locaux.
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