Les sbires du régime religieux ont pendu, samedi 10 septembre, sept prisonniers dans la prison centrale de Bandar Abbas. C'étaient des travailleurs pauvres sur des cargos de fret. Afin d'intensifier l'atmosphère de peur et de terreur, les médias d'État ont largement publié des images de cadavres. Quelques jours plus tôt, au moins cinq autres prisonniers dans les prisons de Khorramabad, Machhad, Ardabil et Racht ont été exécutés.
D'autre part, la peine d'amputation brutale de Mohammad Reza Farahnak, qui est emprisonné à Gohardacht à Karaj, après avoir purgé 18 ans de prison, va être mise en œuvre bientôt. Le pouvoir judiciaire des mollahs a également annoncé la mutilation des doigts de plusieurs autres prisonniers.
La Résistance iranienne appelle le Conseil des droits de l'Homme, le Haut-Commissariat aux droits de l'Homme et les organisations internationales des droits de l'Homme à condamner la situation catastrophique des droits et libertés en Iran et demande une action urgente pour empêcher la mise en œuvre de ces peines inhumaines.
Le silence face à des violations flagrantes des droits humains en Iran enhardit le régime des mollahs dans ses crimes. Les criminels au pouvoir doivent être mis au ban de la communauté internationale et tenus responsables par les tribunaux internationaux pour leurs crimes.
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