Lors de la réunion du groupe de travail sur les femmes et les familles dans la province de Lorestan (ouest de l'Iran), le gouverneur pour la politique, la sécurité les questions sociales a déclaré : « Quelque 50 000 femmes ont été identifiées dans la province qui dirigent leurs ménages. »
Ces 50 000 de femmes sont les femmes qui ont été libérées de prison ou les femmes dont les maris sont en prison.
La réunion a eu lieu le mardi 13 septembre 2016 à Khorramabad. Seyed Saeid Shahrokhi a reconnu la pauvreté des femmes-chefs de famille et a affirmé : « Parfois, vous voyez qu'une femme est en prison pour seulement 500 000 tomans (env. 150 dollars [L'agence de presse ILNA — 13 septembre 2016)
Les responsables du régime iranien ont déjà défini le nombre de femmes-chefs de famille à 2,5 millions. Alors que le nombre total de femmes travaillant en Iran est de 3,1 millions, ce qui représente seulement 12 pour cent du nombre de femmes en âge de travailler.
La situation des femmes au Lorestan, qui a l'un des plus grands nombres de femmes qui se suicident en Iran, reflète la situation des femmes dans tout le pays.
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