C'est à une véritable hécatombe que l'on assiste actuellement en Iran. Les mollahs font exploser les compteurs et pendent par groupes entiers, pris par une frénésie peu commune, comme s'ils sentaient la fin proche.
Ainsi ces trois derniers jours 33 exécutions ont endeuillé l'Iran.
Le 27 septembre : 7 exécutions à Minab et 4 à Tabriz. Le 28 septembre : 11 exécutions à Karadj et 2 autres à Evine à Téhéran, et 1à Khorramabad. Le 29 septembre 8 exécutions à Oroumieh, dont une femme.
C'est une carte d'Iran dégoulinante de sang. Il faut s'interroger sur le silence et l'impunité qui entourent ces crimes contre tout un peuple.
Tant que l'Occident ne mettra pas de clause "arrêt des exécutions" dans ses contrats économiques et ses relations diplomatiques avec ce régime barbare, les mollahs y verront un feu vert pour continuer.
Ce à quoi on assiste sous couvert de lutte contre la drogue ou des peines de droit commun est la poursuite des exécutions massives de prisonniers politiques dans les années 1980 en Iran, notamment le massacre de 30.000 d'entre eux durant l'été 1988.
Il est grand temps d'ouvrir une enquête nternationale et de mettre en route les instruments juridiques qui peuvent arrêter la main des bourreaux.
merci d'indiquer le site où vous avez pris la nouvelle. www.csdhi.org
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